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«Le rêve de ma vie se réalisait. Je venais d'être embauché comme scénariste dans un grand studio d'Hollywood. Un studio un peu bizarre, quand même. Situé juste à côté d'un cimetière d'où les morts avaient tendance à sortir la nuit. C'est ainsi que je me suis retrouvé nez à nez avec le cadavre du grand patron des studios, mort depuis vingt ans. Un cadavre qui s'est empressé de disparaître. Comme a disparu mon copain Roy, l'as des effets spéciaux, après s'être fait bousiller tous ses monstres chéris modèle réduit. Il fait dire qu'il n'était plus le même après avoir rencontré la Bête, l'incarnation vivante de l'être de cauchemar qu'on était censés inventer pour notre film. Pagaille dans les studios. Dans quel asile d'aliénés étais-je tombé?»Ray Bradbury poursuit ici l'autobiographie imaginaire sur fond d'hommage au «polar» entamée dans La solitude est un cercueil de verre. Avec une férocité joviale qui n'exclut pas un vieux fond de tendresse grinçante, il règle ses comptes avec les milieux hollywoodiens de la grande époque dans une satire au vitriol qui a tout le parfum du vécu.
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