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Les 10 livres coups de cœur des lecteurs - septembre 2024

Et si on sortait des sentiers battus de la rentrée littéraire ?

Les 10 livres coups de cœur des lecteurs - septembre 2024

La rentrée bat son plein, d’excellents romans sont en course pour les prix, mais peut-être avez-vous envie d’idées différentes et nouvelles ?

Vous êtes évidemment au bon endroit : les lecteurs et lectrices de ce site n’ont pas leurs pareils pour dénicher les pépites du moment. La preuve avec ces dix romans et bandes dessinées particulièrement alléchants…

  • Les émotions littéraires de septembre 2024

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      Couverture du livre « Les Hommes manquent de courage » de Mathieu Palain aux éditions L'iconoclaste

      Les Hommes manquent de courage de Mathieu Palain

      « Ça se lit presque d’une traite et on songe avec émotion à la difficulté que l’on peut avoir à parler à ses enfants.
      En taisant nos douleurs, on veut les protéger, mais ce silence au contraire ne les entraine- t-il pas avec nous dans nos souffrances ? Et quelle est la part de ce qu’on leur transmet dans ce qu’ils deviennent ? Un récit touchant et éprouvant. Un très beau portrait de femme. » Florence Mur.

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      Couverture du livre « Mille femmes blanches Tome 1 : Un train pour la gloire » de Lylian et Anais Bernabe aux éditions Dargaud

      Mille femmes blanches Tome 1 : Un train pour la gloire de Lylian - Anais Bernabe

      « 1873. Pour avoir osé vivre son amour avec un homme d'un rang inférieur, May Dodd est placée contre son gré dans un institut pour déficientes mentales. Elle y vivra un an d'horreur absolue, mais la jeune femme éprise de liberté parvient à conserver sa lucidité, aidée par Martha, son aide-soignante.
      Basé sur un fait historique réel, le roman de Fergus repris ici par Lylian est brutal, cruel, mais aussi fier et sensible. Ce premier tome, très introductif, est aussi très alléchant. On découvre la tragédie qui touche May, sa force de caractère, sa douceur et sa pugnacité. » De Fil en Bulles.

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      Couverture du livre « Propre » de Alia Trabucco Zeran aux éditions Robert Laffont

      Propre de Alia Trabucco Zeran

      « Une voix que vous n’oublierez pas. Propre est l’histoire de Estela Garcia, 40 ans, employée à domicile. Lita comme l’appelle sa mère est travailleuse et surtout instruite.
      Comme toute histoire, elle a un début et une fin. Enfin non, elle a plusieurs débuts, mais elle n'a qu'une fin, toujours la même : "la fillette meurt".
      Un roman psychologique puissant. » Benoit Lacoste.

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      Couverture du livre « La vie qui reste » de Roberta Recchia aux éditions Istya & Cie Editions

      La vie qui reste de Roberta Recchia

      « Avec un grand talent de conteuse, Roberta Recchia nous entraine dans une histoire aussi dramatique qu’addictive, difficile à lâcher. L’analyse des tourments des personnages est remarquable. La puissance de l’amour, fût-il impossible, peut déplacer des montagnes et donner une leçon à ceux qui auraient dû bien plus tôt apporter des lumières sur ce qui s’est passé ce soir fatal de l’été 1980.
      Un gros coup de cœur pour ce superbe roman. » Chantal Yvenou.

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      Couverture du livre « Un printemps en moins » de Arnaud Dudek aux éditions Les Avrils

      Un printemps en moins de Arnaud Dudek

      « Le roman aborde un thème malheureusement d'actualité, le suicide d'enfants ou d'adolescents. Gabriel, 14 ans, est plongé dans un coma artificiel après s'être défenestré ; son père et une professeure de son établissement qui lui a porté secours après sa chute, lui rendent visite chaque jour à l'hôpital. Ce printemps en moins, volé à la vie des trois personnages principaux est bien sûr celui de la peur, de la peine, des interrogations mais aussi celui de la renaissance.
      Un très beau roman sur un thème douloureux. » Calimero29.

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      Couverture du livre « La nuit de David » de Abigail Assor aux éditions Gallimard

      La nuit de David de Abigail Assor

      « Au début, ça ressemblait à une blague. Un jeu, une bêtise. “Un jour, Olive, je deviendrai un train, me soufflait-il tout petit avant que l’on s’endorme.” Et puis ça a tourné à l’obsession.
      C’est un roman qui questionne la folie. Celle qu’on exprime, celle qu’on hurle, celle qu’on pleure. Ou pire, celle qu’on maquille, celle qui donne aux enfants l’envie de s’éloigner à grande vitesse, dans un grand bruit de ferraille. » s.laby.

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      Couverture du livre « Éclore » de Aude Mermilliod aux éditions Casterman

      Éclore de Aude Mermilliod

      « A 14 ans, Aude est victime d’une agression sexuelle, qu’elle n’ose pas nommer viol. Elle n’a pas su dire non une seconde fois et le garçon a profité de sa faiblesse. Les années qui suivent sont difficiles, puis elle explore sa sexualité, tente, ose.
      Ce récit particulièrement intime raconte comment la jeune femme parvient à vivre malgré le traumatisme bien enfoui. Un album qui évite le manichéisme qui parle évidemment des femmes mais aussi des hommes, des agresseurs bien sûr, mais aussi des autres. Il y a en lui, une fluidité, une profondeur dans l’intimité comme j’ai rarement vu dans la bande dessinée. » Yv Pol.

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      Couverture du livre « Berlin pour elles » de Benjamin De Laforcade aux éditions Gallimard

      Berlin pour elles de Benjamin De Laforcade

      « Une amitié inconditionnelle entre deux fillettes de six ans, à l’est du mur de Berlin. C’est un roman éblouissant, ou des éclairs de lumière jaillissent au milieu de la noirceur de la situation ; c’est une illustration du totalitarisme, qui fait intervenir des enfants ; c’est fin, intelligent et le sujet est traité de façon inattendue.
      Un très beau roman de cette rentrée, que j’ai eu beaucoup de mal à quitter. J’aurais pu y rester encore quelques dizaines de pages… » Babeth_ladreyt.

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      Couverture du livre « Badjens » de Delphine Minoui aux éditions Seuil

      Badjens de Delphine Minoui

      « Ce texte explore la question de l’identité féminine en Iran. A partir du moment où une jeune fille décide d’enlever son voile, ses cheveux deviennent une arme de combat, une armure, la continuité du corps qui permet à une femme de reconstituer son identité féminine. Avec ce récit l’autrice se retourne vers le passé afin de mieux s’en affranchir. Un silence peut tuer, une écriture peut sauver, se réconcilier avec l’histoire et avec soi-même, réparer les silences, recoudre des bouts de vérité.
      Par cette histoire Delphine Minoui rend hommage à toutes ces filles qui brisent le silence et les murs et vivent leur vie en s’assumant au grand jour. » ziggy.

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      Couverture du livre « Les Merveilles » de Viola Ardone aux éditions Albin Michel

      Les Merveilles de Viola Ardone

      « Viola Ardone nous plonge au cœur d’un asile psychiatrique italien dans les années 1980. On enferme certaines femmes ici parce qu’on les juge extravagantes, qu’elles ne sont pas fidèles, pas capables de s’occuper de la maison, de leur mari et de leurs enfants, parce qu’elles se comportent comme des hommes et veulent aimer une femme !
      Elba, adolescente née entre ces murs, porte un regard innocent et plein d’humour sur ce microcosme. Ce roman est surtout le récit d’un amour fusionnel entre une mère et sa fille, un récit à deux voix : celle d’Elba et celle de Fausto, psychiatre qui s’est battu toute sa vie pour la fermeture des asiles psychiatriques. » Yves Montmartin.

 

Et vous, qu'avez-vous découvert dernièrement ?

 

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