Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Pendant des siècles, l'animal n'a été qu'un objet au service de l'homme, ce n'est que depuis peu que le Code civil reconnaît l'animal comme « un être doué de sensibilité », alors que de multiples exemples nous renseignent sur ses aptitudes et sur sa sensibilité. Certains auteurs, parmi les anciens, comme Lucrèce, savaient déjà que les animaux sont capables d'entraide, tout comme les plantes, comme l'ont révélé les travaux récents du biologiste Jean-Marie Pelt. La science ne nous montre plus l'homme comme le dernier maillon d'une chaîne qui se situerait entre Dieu et le reste des vivants, et le statut de l'animal préoccupe de plus en plus de gens. Cet essai, « L'Ombre de l'homme », montre que l'être humain n'a cessé de projeter sur les autres - ceux d'une autre couleur, d'une autre religion, les femmes, les enfants, et surtout les animaux - tout ce qu'il rejette en lui, autrement dit sa part d'ombre. Peu différent des autres êtres vivants, il s'est efforcé par tous les moyens de s'en différencier. Cela a donné l'histoire, la civilisation, la culture, autant de choses dont on peut se féliciter, mais les connaissances actuelles exigent que nous envisagions enfin l'animal comme un être à part entière et que nous lui redonnions la place qui lui revient. C'est l'objectif de ce livre.
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