Depuis toujours Li rêve de dessiner. Mais il ne peut acheter ni pinceau ni papier.
Touché par le jeune homme si motivé, le marchand de couleurs finit par lui donner un morceau de craie. Le soir même, sur une pierre plate, Li dessine un magnifique buffle. Le lendemain matin, à son réveil, la pierre est vide et un véritable buffle broute à ses côtés ! Li ne sera plus seul à travailler dans la rizière. Mais la joie de Li est de courte durée car le gouverneur, fasciné par le bel animal, le lui vole. L'injustice se reproduit : le grand manguier dessiné par Li est abattu pour fournir du bois au gouverneur et ce dernier n'hésitera pas à enlever Wen, la plus douce des femmes, née elle aussi d'un dessin de Li. Avec le minuscule morceau de craie qu'il lui reste Li réagit : il dessine un tigre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
