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L'homme qui assassinait sa vie

Couverture du livre « L'homme qui assassinait sa vie » de Jean Vautrin aux éditions Le Livre De Poche
Résumé:

Jean Vautrin L'homme qui assassinait sa vie Il pleut.
Il pleut sur les fleuves. Il pleut sur la France et sur les esprits.
Dans son officine rongée par l'humidité et hantée par les cloportes, Gus Carape, détective privé à Bordeaux, disjoncte. Pas un client. Les amours s'étiolent. Le niveau des... Voir plus

Jean Vautrin L'homme qui assassinait sa vie Il pleut.
Il pleut sur les fleuves. Il pleut sur la France et sur les esprits.
Dans son officine rongée par l'humidité et hantée par les cloportes, Gus Carape, détective privé à Bordeaux, disjoncte. Pas un client. Les amours s'étiolent. Le niveau des eaux et la pile des factures montent. Gus Lapoisse est prêt à tout pour un peu de soleil et beaucoup d'argent...
Recraché par un train, feutre trempé sur la tête, un inconnu débarque gare Saint-Jean. L'homme recouvre la liberté au bout de trois ans de prison. C'est un type brisé qui marche sur le pavé mouillé des ruelles mal famées du port de la Lune.
Qui est-il, celui qui a été riche et puissant ? Qui est-il, celui qui s'avance en habits de clochard mais que les femmes du monde reconnaissent comme leur ancien séducteur ? Qui est-il, celui qui faisait et défaisait les politiques ? Qui est-il enfin, celui qui, plutôt que de réintégrer la brasse du fric et le monde privilégié d'où il vient, s'embarque dans sa Mercedes et décide d'assassiner sa vie oe A l'aube d'un suspense surfilé par la vitesse, le téléphone portable, la folie du trafic routier, le dérèglement des saisons, l'incohérence des conversations glanées ici et là, se dessine le destin croisé de deux hommes sur une autoroute.Jean Vautrin L'homme qui assassinait sa vie Il pleut.
Il pleut sur les fleuves. Il pleut sur la France et sur les esprits.
Dans son officine rongée par l'humidité et hantée par les cloportes, Gus Carape, détective privé à Bordeaux, disjoncte. Pas un client. Les amours s'étiolent. Le niveau des eaux et la pile des factures montent. Gus Lapoisse est prêt à tout pour un peu de soleil et beaucoup d'argent...
Recraché par un train, feutre trempé sur la tête, un inconnu débarque gare Saint-Jean. L'homme recouvre la liberté au bout de trois ans de prison. C'est un type brisé qui marche sur le pavé mouillé des ruelles mal famées du port de la Lune.
Qui est-il, celui qui a été riche et puissant ? Qui est-il, celui qui s'avance en habits de clochard mais que les femmes du monde reconnaissent comme leur ancien séducteur ? Qui est-il, celui qui faisait et défaisait les politiques ? Qui est-il enfin, celui qui, plutôt que de réintégrer la brasse du fric et le monde privilégié d'où il vient, s'embarque dans sa Mercedes et décide d'assassiner sa vie oe A l'aube d'un suspense surfilé par la vitesse, le téléphone portable, la folie du trafic routier, le dérèglement des saisons, l'incohérence des conversations glanées ici et là, se dessine le destin croisé de deux hommes sur une autoroute.

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Avis (1)

  • "Noir, c'est noir. Et, il n'y a plus d'espoir..."


    Jean Vautrin ( prix Goncourt pour " Un grand pas vers le bon Dieu) a réalisé dans une autre vie, sous le nom de Jean Herman: " Adieu l'ami" avec Alain Delon et Charles Bronson.


    Dans ce livre, FFF, sorti après 3 ans de prison, suite à...
    Voir plus

    "Noir, c'est noir. Et, il n'y a plus d'espoir..."


    Jean Vautrin ( prix Goncourt pour " Un grand pas vers le bon Dieu) a réalisé dans une autre vie, sous le nom de Jean Herman: " Adieu l'ami" avec Alain Delon et Charles Bronson.


    Dans ce livre, FFF, sorti après 3 ans de prison, suite à des malversations financières, dit "adieu à sa vie"...


    C'est un roman noir:
    avec les thèmes chers aux romans policiers de la " Série Noire".


    Le héros : quel héros ?
    " Sa vie? Dégueue. Un vrai bourbier"...
    Un ex taulard qui n'a plus rien à perdre, croise un détective privé, fauché comme les blés, et la route d'un gros flic teigneux.


    La femme: Jenny, l'ex femme de FFF, elle meurt très vite, de plusieurs balles, dans le bas ventre...


    La ville: Bordeaux, une ville dégueulasse, sous une pluie sale. Elle pue le cafard et la poisse...
    " Les junkies dealent sous les néons. le vice renifle les ados dans les coins. La banalité lancinante du ciel grisâtre obsède les proxénètes. Il pleut..."


    La violence: ça défouraille!
    FFF tire dès qu'il peut! Il se venge et tue sans vergogne, ceux qui le gênent, comme ceux qu'il recherche. Il manque de peu de tirer sur un clébard, puis se ravise...


    Jean Vautrin le déclare: " Gigolettes, rebuts, transfuges, paumés, otages, beurettes, obèses, negros exportés-Boeing, junkies, funkies, prolos... C'est l'homme qui m'intéresse !


    Suivez FFF, et ces épaves jusqu'au bout de la nuit. Il n'y aura pas d'aurore!

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