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Claire Castaigne, la trentaine, célibataire, tatouée, motarde est une jeune notaire idéaliste. Ce métier, c'est sa passion, sa vocation. Elle aime être aux côtés de ses clients dans ces moments cruciaux où l'argent et les sentiments se mêlent. Elle se bat avec les textes, les actes, les volontés, et de plus en plus contre sa corporation et ses codes.
Elle est partagée entre son amour pour le droit, son sens de la justice, et ses rêves d'une vie plus libre, plus conforme à ce qu'elle est : rebelle, solitaire, féministe.
C'est le temps de la révolte, d'une autre vie.
Après Les actes et Les volontés, couronnés de succès, Les vanités clôt cette grande fresque balzacienne, comédie humaine passionnante où l'office notarial est le reflet de notre société, de nos révolutions sociales, financières et amoureuses.
Il y a un peu moins de deux ans, j'avais bien apprécié 'Les actes', le 1er roman de Cécile Guidot qui décrivait la vie d'une étude notariale, avec les problèmes classiques des trentenaires qui y suaient corps et âmes, et les affaires de famille, secrets et dissimulations en tous genres apportés par les clients.
Je me suis plongée dans la suite, 'Les volontés, qui m'a tellement déçue que j'ai enchaîné aussitot par Les vanités, troisième volet de cette trilogie, pour savoir si les lenteurs du deuxième seraient sauvées !
Que non !
Ce que je retiens principalement de ce dernier volume, ce sont, d'une part, les manigances utilisées par Claire pour faire chuter le grand patron de l'étude pas si propre que cela, et, d'autre part, la recherche de son identité sexuelle, lesbienne ou pas, et ses atermoiements.
En bonne suite du volume précédent, on retrouve les mêmes interrogations de certains notaires sur leurs origines, leur judaïté (décidément un thème qui fait florès ces derniers temps !), voire leur foi chrétienne !
Bref, bien loin de ce qui aurait dû être le sujet du roman à savoir la vie d'une étude notariale et de ses clients !
Dommage !
Cela avait pourtant si bien commencé !
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