Pour parler de la femme comme objet de savoir sociologique et philosophique, l'auteur fédère deux concepts complémentaires: le concept de violence et le concept de travail. Il part de l'hypothèse suivant laquelle l'on ne peut tenter une explication scientifiquement valable de la violence contre les femmes, abstraction faite du concept fondamental de travail. Ce dernier concept lui apparaît comme le compendium de toutes les violences sexistes. La femme qui l'intéresse au premier chef dans cet essai est la femme au travail; celle qui, dans le besoin ou simplement parce qu'elle y est contrainte, accorde au travail la plus grande partie de son temps. Ce parti pris méthodologique lui a imposé de remonter jusqu'à l'économie de traite. Il s'agit là, d'un point de vue africain, d'une époque charnière dans l'histoire du travail féminin et son nécessaire corollaire, la violence.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
