Le journaliste et animateur bien connu de Radio-Canada, Stéphane Garneau, fait l'éloge d'une certaine réserve salutaire contre tout ce babillage souvent inutile qui empoisonne les ondes, les réseaux, les communications de toutes sortes et qui ne contribue, la plupart du temps, qu'à ajouter du bruit au vacarme ambiant. Un essai qui en appelle donc à un peu plus de silence ; non pas le silence qui imposerait la dictature de sa présence, mais bien celui qui permet de penser, de réfléchir, d'écouter, de soupeser. Et de peut-être, ou pas, choisir de se taire.
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