80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
L'ensemble des contributions de ce volume porte sur la relation qu'entretiennent le latin et le français dans l'acquisition, la conservation et la transmission des savoirs au Moyen Âge (XIIe-XVe siècle). Quelques domaines de spécialité particulièrement typiques sont ici retenus (le savoir biblique, la zoologie, la botanique, la géologie, la pharmacopée, la médecine, le droit). Ces travaux mettent en évidence des situations très différentes selon les secteurs du savoir et apportent donc un point de vue extrêmement nuancé sur la question du bilinguisme et de la diglossie au Moyen Âge. L'émergence, alors, d'un discours scientifique, ou plus largement savant, en français est en effet soumise à de multiples contraintes, liées tant au matériel linguistique hérité et à la technicité du discours qu'à la diffusion et à la permanence de ce discours dans l'espace et dans le temps. Certains éléments de la réflexion menée dans ce recueil devraient contribuer plus largement à mieux penser le rapport entre langues concurrentes ou rivales dans d'autres aires culturelles et temporelles que celles du Moyen Âge français.
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