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De quoi se nourrit l'imaginaire, sinon de substances qu'il puise dans le monde matériel et transforme en symboles? Il les trouve d'abord dans ce que Bachelard nomme "la matière" : les quatre éléments (considérés naguère encore par la pensée occidentale comme constitutifs de l'univers, et qui fondent la vision du monde de nombreuses sociétés traditionnelles) fournissent des thèmes aux mythes, aux contes, à la poésie, aux rêves. Mais il est d'autres sources pour ces substances symboliques, et c'est à l'exploration de quelques-unes d'entre elles que nous convions les lecteurs. Au sommaire : S. Bouez, «Le sperme et le venin» ; R. Lionetti, «Le motif de l'allaitement masculin dans la tradition orale européenne» ; G. Calame-Griaule, «Le miel des relations humaines» ; P. Beaujard, «D'une princesse morte au miel de la vie» ; M. Bacou, «La renarde marraine de l'enfant de la citrouille» ; L. Gaborit, «Le sel des hommes» ; F. Reumaux, «Le doigt sucé et autres motifs du sang» ; C. Karnoouh, «Le dire rituel matrimonial en Roumanie» ; N. Anido, «Quand les dieux se régalent d'huile et de miel».
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