80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Mohamed Amine, 29 ans, un jeune architecte marocain musulman, enseignant à Paris, exposait à la galerie du Crous de la rue des beaux-arts son travail sur le thème : Pèlerinage à la Mecque.
Le dernier jour de son exposition, l'architecte n'y retournera pas. Il est raflé par les moussons des actes terroristes du 13 novembre 2015, une nuit à Paris.
L'auteur endeuillé de son fils se soumet à l'épreuve de l'écriture après sept années de cette disparition tragique. Il donne à son fils la parole en le ressuscitant à travers une plume posthume qui se verse dans un récit poétique : un tissage de pérégrinations spirituelles, des voyages de l'enfant à la Mecque et le jour de sa mort à Paris et ses heures posthumes. Le récit raconte ces événements à travers une aimance poétique d'une appartenance ancestrale.
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