Quoi qu'on fasse on casse : (Michaël Frayn) Une firme de construction britannique présente un système de cloisons modulables à la foire de Francfort. La firme est prospère mais dépend d'un groupe. C'est la fuite en avant, l'expansion ou la mort. Restructurations, regroupements, la menace est la même pour tous, cadres et non cadres... les décisions échappent : elles proviennent d'en haut. Dans ce cadre, un grand homme d'affaires, pittoresque, cocasse, pathétique, investi par la passion de vendre, d'aller plus loin. Il est entouré de personnages très typés : le collègue rival, le jeune mari pur et fidèle, le cavaleur, le vieil ami dévoué, la secrétaire dévouée.
(durée : 1 heure et 45 minutes - 11 hommes / 2 femmes)
Le Petit Cheval : (Alain Vettese) Le fils galope dans l'escalier comme « un petit cheval ». À table, papa et maman lui parlent comme s'il avait dix ans. De son cartable, il sort langouste, saumon fumé, achetés vraiment au supermarché... mais avec l'argent volé à une vieille dame. Il est renvoyé du lycée, casse les lunettes d'un prof. Le fils quitte la maison... Papa et maman regardent la télé. La mère s'écrie : le voilà, c'est lui, c'est le petit cheval. Alors, entre le fils en tenue d'officier de cavalerie...
(durée : 35 minutes - 1 homme / 2 femmes)
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