80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Nuits blanchies. Jours noircis. Cercle de connivence dans les tympans de ma mer d'Antilles. Une longue colloque autour de la violation de mon île tuf. Son exclusion pour avoir exigé aux vagues analphabètes, laides, sales, à saisir la parole par le cou. Palabres de lames frustrées. L'ancre du silence. Les ruisseaux ne comptent plus pour les négociations entre mers et fleuves. Je m'enlace dans un tourbillon de remord, le verbe pour sécher mon encrier sans couvercle. L'être vit dans d'extrême solitude au milieu des êtres.La poésie des crépuscules en cailloux ou en galets. La marche des étoiles au dessus de mes falaises ne laisse pas entrevoir l'issue des impasses artificielles.J'evite de voir ce qui se passe dans mes mains, trop de volcan
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année