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Le troisième recueil poétique d'Antonin Veyrac : le délire, la contemplation et l'enfant comme horizon à perpétuité.
L'Infiniment petite est Anoushka, l'objet du texte. Le poète, lui, est l'objet du regard de sa fille. Et que dire qui n'en soit déjà trop ?
L'Infiniment petite est la contemplation, l'horizon à perpétuité, le magnifique et le monstrueux.
Les poèmes discutent en encerclant le discours de différentes strates et niveaux où Anoushka est à portée de parole et impossible à rejoindre.
Un texte en vers libre fractionne le recueil en son milieu, c'est le moment du déboublemment, le moment où une langue dit à une autre langue « silence », le moment où une goutte d'eau tombe dans une tasse comme un supplément d'âme.
L'Infiniment petite est le troisième recueil d'Antonin Veyrac, après Moésie (Les longères, 2018) et Basalte et Javel (Supernova, 2020).
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