80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Belqis, Youssef, Walid, Ghassan. Quatre personnages, quatre visages. Quatre questions sur le sens. Et quatre projections tentant d'affronter le dilemme de l'existence.Youssef l'écrivain s'évade de l'ordinaire de son existence vers une image élaborée qu'il n'atteint pas. Walid, le rebele, se bat pour échapper aux fantômes des morts. Belqis commet des crimes émotionnels et se demande : Suis-je Raskelnikov ou Sonya ? Ghassan s'abrite dans la monotonie de l'étain de Chatila taché du sang du massacre... C'est un roman pour qui est troublé par les questions. Pour tous ceux qui ont atteint les limites de l'ennui et sont revenus. Il y a l'amour malade et autre amputé. Il y a les relations tendues que les gens essaient de calmer leur anxiété. Les petites ligues qui n'ont pas de nom pour leurs propriétaires. Il y a le super ordinaire, présent dans la vie de chacun de nous. On y retrouve quatre personnages qui fuient toujours vers l'avant dans une tendance constante vers le paradis perdu, malgré leur ferme conviction qu'il s'agit d'une illusion.
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