80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En cette année 1886, le docteur Nicolas Martin s'apprête à prendre ses nouvelles fonctions dans un petit bourg du Limousin. Il vient de rentrer pauvre comme Job des colonies, où il a passé plus de dix ans, et a conclu une marché peu commun pour gagner sa vie : il récupérera la clientèle du vieux médecin décédé, ira loger chez sa veuve et, en échange, épousera la cadette des filles, Mlle Claudine, trentenaire avenante et fille-mère. Mais le mariage ne se fait pas ; le juge d'instruction devançant Nicolas et épousant Claudine. Nicolas se retrouve libre de conter fleurette à la belle boulangère ou à l'inquiétante châtelaine, Manon, trop jeune épouse d'un riche malotru. Bientôt, on retrouve un châtelain assassiné. Chacun soupçonne Manon, d'autant que les trois précédentes épouses du barbon sont mortes dans des conditions suspectes. Manon a-t-elle voulu sauver sa vie en tuant son mari ? Ou l'assassin serait-il Oscar, l'irascible ouvrier boulanger, ennemi juré du châtelain ? Les langues vont bon train, les pistes s'égarent... Nicolas qui, pour donner ses soins, va de ferme en ferme et recueille des informations, est victime d'une tentative d'assassinat. Décidé à faire la vérité sur toute l'affaire, il trouve une alliée imprévue : Lise, fille aînée de sa logeuse, folle ou, pour le moins, excentrique, et d'une extrême beauté. Entre les crimes et cette nouvelle compagne, Les Beaux Jours du docteur Nicolas se parent d'une tension qui n'est pas dénuée de charme.
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