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Kahlan est aux portes de la mort. Richard, qui se méfie des prophéties plus que quiconque, a soudain une vision : il doit emmener sa femme loin de l'armée qui les protège et livrer son peuple à son funeste destin. Kahlan refuse cependant d'abandonner la cause des Contrées du Milieu. Rompant le dernier serment fait à son mari, la Mère Inquisitrice se retrouvera face à l'architecte de la terreur qui balaie le pays : l'empereur fou, Jagang, celui qui marche dans les rêves, a juré de déverser sa rage sur le Nouveau Monde...
Il s’agit de l’un des tomes les plus politiques des six premiers qui composent cette saga. Je commence, d’emblée, par ce que j’ai le moins apprécié : la manière dont l’auteur instrumentalise son histoire et ses personnages pour les placer au service de doctrines qu’il défendait.
Malgré tout, et sans compter le sempiternel long rappel de l’intrigue initiale, la lecture reste captivante. De nouveaux personnages, particulièrement intéressants, font leur apparition tandis que d’autres gagnent en épaisseur. Dans ce tome, Richard et Kahlan sont face à leurs responsabilités politiques et vont y réagir, de gré ou de force, de manière singulière.
La thématique de la liberté et des prix à payer pour en jouir est, toujours, un leitmotiv. L’art tient une place prépondérante dans ce tome et j’apprécie, beaucoup, le regard que porte sur lui Terry Goodking en le faisant paraître à l’égal d’une forme de magie. En outre, il est intéressant de voir comment Richard se débrouille une fois tombé le piédestal du seigneur Rahl: pour reprendre la métaphore artistique ; ). En prise, à nouveau, avec les gens
ordinaires, l’on peut lire de quelle manière ses idéaux prennent tout leur sens au contact de la réalité.
Si les rebondissements liée à la guerre contre l’Ordre, qui se déroule toujours en filigrane, ajoutent de l’action et du suspense, j’apprécie nettement moins la redondance des scènes de torture. J’espère qu’elles sont moins présentes dans la suite des aventures du Sourcier et que les personnages continueront de dévoiler les pans les plus fascinants de leurs complexes personnalités.
J'ai eu beaucoup plus de mal à accrocher à ce tome... Vers le milieu il y a beaucoup de longueur malheureusement. De plus, l'intrigue est plutôt similaire à celle des autres tomes Khalan et Richard sont séparé, ils essayent de se retrouver...
Toutefois vers les dernières 200/300pages je ne pouvais littéralement plus lâcher ce livre ! Les personnages sont comme d'habitude très bien développé même pour Nicci, on aurait presque de l'empathie pour ce personnage qui ne ressent "rien"
La fin est vraiment très belle, je trouve qu'elle fait une ode à la vie, un réel plaisir
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