80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
«Depuis quelques mois, il avait cessé d'aimer la nuit. Maintenant, il en avait peur. Dès que le soir tombait, la conscience de son impuissance et de sa vulnérabilité s'imposait à lui avec plus de force.» Cet homme qui a peur est V.A. Soloviov, un invalide en fauteuil roulant. Linguiste distingué, il vit de son travail de traducteur. Il est aussi l'ancien amant de l'inspectrice de police Kamenskaïa, qui entend bien renouer avec lui. Non parce qu'elle l'aime encore, mais pour observer le quartier où il habite et où sévit un pédophile qui a déjà fait neuf victimes.
La confusion règne chez Soloviov, qui est flanqué d'un certain Andreï, un assistant que lui a trouvé sa maison d'édition. Tout occupée qu'elle soit à son enquête, Kamenskaïa sent que cet Andreï n'est pas clair...
Ainsi commence l'un des meilleurs romans de l'ex-inspectrice de la police de Moscou, Alexandra Marinina, véritable phénomène de l'édition russe.
Traduit par Galia Ackerman et Pierre Lorrain.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année