"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
De nombreuses études ont montré l'effet de la répression financière sur la dynamique de l'intermédiation bancaire, mais cela reste ambigu en raison des phénomènes antithétiques à la théorie économique. Cet ouvrage met en évidence à partir des données d'une économie en transition, l'impact de la taxe financière implicite, incarnée par le revenu de la répression financière et la taxe sur inflation, dans la détermination du niveau de l'intermédiation bancaire. En se basant sur les fonctions primaires de la banque, le taux de crédit fourni à l'économie et le ratio de dépôt, une analyse statistique multi variée livre des informations éloignées des précédentes. Les résultats obtenus à travers un modèle VAR «vecteur autorégressif» et des liens de causalité, révèlent qu'à court terme, le revenu de la répression financière affecte négativement l'épargne et le taux de crédit. En revanche, la taxe sur inflation à un impacte positive sur les deux fonctions. A long terme, l'impacte du revenu de la répression financière est nul sur l'épargne et négative sur le taux de crédit.On s'évertue d'interpréter ces résultats par l'effet de substitution et l'effet de richesse des néoclassiques.
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