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Le piano désaccordé

Couverture du livre « Le piano désaccordé » de Christine Devars aux éditions Anne Carriere
Résumé:

A vingt ans, Elodie est insouciante comme sa mère, pianiste réputée pour son talent et sa fantaisie.
La maladie d'Alzheimer va faire une entrée grimaçante dans leur existence. Une grimace parfois odieuse, souvent comique, toujours attachante. Mais Elodie n'a pas dit son dernier mot. A grand... Voir plus

A vingt ans, Elodie est insouciante comme sa mère, pianiste réputée pour son talent et sa fantaisie.
La maladie d'Alzheimer va faire une entrée grimaçante dans leur existence. Une grimace parfois odieuse, souvent comique, toujours attachante. Mais Elodie n'a pas dit son dernier mot. A grand renfort de torpilles d'imagination et de rafales d'amour, avec " cette bonne vieille rage qui vous rend invincible et vous défend de craquer ", la jeune fille nargue le mal qui atteint sa mère. Bientôt déboule Rosita, Cap-Verdienne ahurissante, dame de compagnie bourrée de malice et d'humanité.
Avec Boris, le brillant chef d'orchestre, qui n'arrive à dire " je t'aime " qu'à sa baguette mais sera toujours là pour " sa " pianiste, ils forment un étrange quatuor où les interprètes réinventent à leur façon la partition du bonheur. Un livre généreux, bouleversant et tendre.

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Avis (1)

  • Ce roman, dévoré un soir m’a empêchée de m’endormir de suite tant sa lecture m’a bouleversée. Un court roman généreux, tendre , un hymne à la vie et un cri d’amour magnifique d’une fille à sa mère.

    Elodie a vingt ans , elle est insouciante comme sa mère, 48 ans, pianiste réputée pour son...
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    Ce roman, dévoré un soir m’a empêchée de m’endormir de suite tant sa lecture m’a bouleversée. Un court roman généreux, tendre , un hymne à la vie et un cri d’amour magnifique d’une fille à sa mère.

    Elodie a vingt ans , elle est insouciante comme sa mère, 48 ans, pianiste réputée pour son talent et sa fantaisie. La maladie d’Alzheimer va faire une entrée grimaçante dans leur existence. Mais Elodie n’a pas dit son dernier mot...

    “Je suis bouleversée, mais j’ai une certitude lumineuse et sauvage. Cette maladie est inacceptable, je la méprise de toutes mes forces et je la narguerai avec des armes qu’elle ne connait pas. Je lui balancerai des torpilles d’amour, des rafales d’imagination et des milliers de pétards bourrés de bonheur”

    Il faut lire ce petit bijou dont les protagonistes, Elodie, mais aussi Rosita, dame de compagnie cap-verdienne toute en générosité et humanité, et Boris , le chef d’orchestre qui n’a jamais su dire je t'aime, réinventent au jour le jour la partition du bonheur...

    (Et j’ai repensé aussitôt à ce petit, tout petit livre sur le même thème de la maladie d’Alzheimer, effrayante maladie qui touche des gens de plus en plus jeunes, lu il y a plus de dix ans, celui de Christian Bobin “La présence pure” où il raconte ses visites à son père atteint de cette maladie dans une maison de long séjour, et où avec une immense tendresse et toute la poésie qui le caractérise, il observe les malades et leur restitue toute leur humanité... un très beau livre aussi . Différent... Il ne se révolte pas contre l’inéluctable et se contente d’aimer son père dans son essence même ce que traduit parfaitement le titre du livre. C’est beau, très accessible, plein de poésie, apaisant, enrichissant... A lire aussi évidemment!)

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