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La suite de Harry Quebert.
Avril 1999. Mount Pleasant, une paisible bourgade du New Hampshire, est bouleversée par un meurtre. Le corps d'une jeune femme, Alaska Sanders, est retrouvé au bord d'un lac. L'enquête est rapidement bouclée, la police obtenant les aveux du coupable et de son complice.
Onze ans plus tard, l'affaire rebondit. Le sergent Perry Gahalowood, de la police d'État du New Hampshire, persuadé d'avoir élucidé le crime à l'époque, reçoit une troublante lettre anonyme. Et s'il avait suivi une fausse piste ?
L'aide de son ami l'écrivain Marcus Goldman, qui vient de remporter un immense succès avec La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, inspiré de leur expérience commune, ne sera pas de trop pour découvrir la vérité.
Allo Jojo c'est Soph? Sophie? SophieWag sur Babelio et sur lecteurs.com? Bah si on se connait, tu m'as dédicacé tous tes romans, avec à chaque fois chère Sophie, alors, tu vois! Du coup je t'appelle Jojo quand je te parle. Oui, je te parle! Bon c'est vrai je suis complètement fan. C'est vrai, t'as raison, c'est plus de mon âge, je n'ai plus 15 ans, mais à chaque fois que tu sors un livre, je suis excitée comme une puce et il me le faut ab-so-lu-ment!
Et là, L'affaire Alaska Sanders, pour moi qui ai lu tous tes romans, c'est du très très bon Joël Dicker. C'est fort, c'est construit, c'est plein de rebondissements et c'est plausible. Là, je dis bravo! C'est vrai il y a quelques fautes de frappe mais on est tellement happé par l'histoire que franchement c'est pas grave! Du coup, je te propose un deal: ton prochain bouquin, tu me l'envoies en avant-avant-première et je te le corrige, je suis instit, ça ira vite, y'en a pas tant que ça des coquilles! N'écoute pas les râleurs!
Bon Joël, j'arrête là ma chronique folle et je te le dis: continue d'écrire, j'adore!
L’affaire Alaska Sanders» ♥ ♥ ♥ de Joël Dicker. On retrouve avec un immense plaisir tous les protagonistes de L’affaire Harry Québert. Marcus Goldman et Perry Gahalowood vont de nouveau résoudre un cold case. Ce livre est plein de rebondissements et se lit d’une traite.
Encore un excellent polar de Joël Dicker. J'ai adoré me replonger dans le monde de Marcus Goldman. Ce tome est le chaînon manquant entre La vérité sur l'affaire Harry Québert et Le Livre des Baltimore. La structure narrative ressemble beaucoup au premier ouvrage de l'auteur mais, bien que l'effet de surprise soit passé, la lecture est toujours aussi fluide et agréable. Un très bon moment de lecture, avec des rebondissements jusqu'aux toutes dernières pages.
Dire que l'on n'a pas aimé un Dicker, c'est s'attirer les foudres de ceux qui attendaient avec impatience un nouveau roman de ce jeune éditeur charmant et talentueux qui fait les plateaux TV avec brio et sincérité.
J'ai filé le 10 mars chez mon libraire et me suis lancée dans la lecture des nouvelles aventures de Marcus. Alors, bien-sûr, l'histoire est loin d'être ennuyeuse, bien-sûr on retrouve avec sympathie d'anciens personnages et le fil se déroule. Mais, c'est la construction du roman qui dérange : ces petits chapitres datés avec retours en arrière, trop c'est toujours un peu trop ! Rebondissements multiples, à se demander si Joël Dicker a vraiment éprouvé une grande difficulté à clore pour encore et encore en rajouter, dans un dénouement long, mais long et alambiqué ...
Ensuite, il y a les fautes de syntaxes, des conjugaisons parfois hasardeuses, les coquilles, les mots oubliés par l'imprimeur, même un jeune éditeur ne peut laisser passer ça !
Du coup, me voilà bien déçue et triste de devoir l'avouer, mais l'affaire Alaska Sanders n'est pas une réussite ...
Nous sommes en avril 2010. Marcus Goldman, qui vient de remporter un gros succès avec son Best Seller (« La vérité sur l’affaire Harry Quebert ») va voir sa vie un peu « chamboulée » en voulant aider un ami : le sergent Perry Gahalowood, rencontré justement en 2008 sur le meurtre de Nola Kellergan (une adolescente de quinze ans disparue en 1975, et retrouvée enterrée dans le jardin du fameux Harry Quebert …)
Ce policier a également investigué en 1999 (avec son binôme Matt Vance) sur le crime d’une jeune femme (Alaska Sanders) retrouvée morte sur la plage de Grey Beach, à Mount Pleasant dans le New Hampshire.
Le narrateur (Marcus Goldman) relate donc en 2010 le soudain revirement de ce dossier vieux de onze ans et ses retrouvailles avec la famille Gahalowood. Tout en y mêlant des confidences intimes, sur son gros besoin de combler le vide amoureux de son existence actuelle … Et surtout sur son obsessionnel désir – depuis la disparition mystérieuse en 2008 de son ancien ami et mentor Harry Quebert – de retrouver la trace de ce dernier …
Les chapitres alternent entre récits et témoignages recueillis en 1999 et durant la décennie suivante, avec un bon nombre de rebondissements. Des allées et venues chronologiques qui – en dépit de mes craintes – ne vous feront pas perdre le fil conducteur de l’histoire, ceci grâce à une construction très élaborée de l’intrigue … Joël Dicker revient également sur un certain nombre de souvenirs liés à ses deux premiers opus (« La vérité sur l’affaire Harry Quebert » et « Le livre de Baltimore ») ce qui pourrait (pourquoi pas ?) aider à la compréhension de ceux qui ne les auraient pas encore lus …
Toutefois, si je ne me suis pas ennuyée durant cette lecture, ce dernier volet m’a un peu moins enthousiasmée – je dois hélas bien le reconnaitre – que les précédents romans de l’auteur … Auteur qui s’est un tantinet trop « dispersé » à mon goût, au risque de lasser ses admirateurs … Une légère déception donc !
On ne change pas une formule qui marche, et celle qu’utilise brillamment Joël Dicker pour ses romans est un véritable piège à lecteurs.
Comme tous ceux qui ont déjà lu Joël Dicker, et notamment « La vérité sur l’affaire Harry Quebert », j’ai retrouvé avec plaisir le duo de choc composé du sergent Perry Gahalowood et de l’écrivain Marcus Goldman qui vont mener à bien une enquête débutée 11 ans plus tôt par Perry, et qui avait conclue à l’arrestation du présumé coupable Eric pour le meurtre d ‘Alaska Sanders. Grâce à des éléments nouveaux, et on peut ré-ouvrir l’enquête et se plonger avec eux dans cette affaire.
Comme à son habitude, l’auteur nous promène à travers les villes, les états, et le temps. Ainsi, même si l’auteur lui-même raconte avoir écrit une trilogie dont c’est le deuxième tome qui met un point final et relie les deux autres, inutile d’avoir lu les précédents tant il a l’art de raconter et de mettre des indices et des résumés sans le vouloir pour aider le lecteur dans sa compréhension. Bien utile également pour les autres, pour se remémorer ce qui s’est passé ou ce qui se passera dans le 3e et dernier tome, « Le livre des Baltimore ».
On retrouve une écriture fluide et agréable, un style incomparable, et un sens du suspense qui nous pousse à poursuivre la lecture jusqu’à la dernière ligne. Un roman rythmé, dynamique, une intrigue bien menée malgré sa complexité, des rebondissements à n’en plus finir, une immersion totale dans le New Hampshire, une certaine intimité avec les personnages principaux, une mise sous pression, un véritable tour de force de la part de Joël Dicker, bref une réussite, un vrai coup de cœur ! J’ai passé un excellent moment de lecture avec ce superbe roman que je recommande à tous.
Enquête sur une enquête bâclée
Le nouveau roman de Joël Dicker, L’Affaire Alaska Sanders, chaînon manquant entre La vérité sur l'affaire Harry Quebert et Le Livre des Baltimore, paraît au sein de la maison d’édition créée par l’auteur Genevois. Un double défi qu’il relève haut la main!
Disons-le d'emblée. C'est un vrai plaisir de retrouver Marcus Goldman et les protagonistes de La vérité sur l'affaire Harry Quebert dans ce nouveau roman qui vient s’insérer chronologiquement entre le roman qui a fait connaître Joël Dicker dans le monde entier et Le Livre des Baltimore et couvre les années 2010-2011. Il met en scène des personnages que les fidèles lecteurs de Joël Dicker connaissent bien et que les nouveaux lecteurs découvriront avec bonheur.
Dans un court chapitre initial, on apprend qu' Alaska Sanders, employée de station-service dans une bourgade du New Hampshire, connaîtra un destin tragique en avril 1999.
Puis on bascule en 2010 à Montréal où se tourne l'adaptation de G comme Goldstein, le livre qui aura transformé Marcus Goldman en phénomène éditorial. Et même s'il a un peu de peine à trouver l'inspiration, tout va bien pour lui. Il a depuis trois mois une liaison avec Raegan, une superbe pilote d'Air Canada rencontrée à New York la nuit du nouvel an et Hollywood lui propose un pont d'or pour adapter La vérité sur l'affaire Harry Quebert. Mais pour l'instant, il ne veut pas de cette version cinématographique, car il imagine que Harry Quebert – dont il n'a plus de nouvelles – n'apprécierait pas cette plongée dans un dossier qui l'a certes innocenté mais surtout totalement discrédité.
C'est d'ailleurs en tentant de retrouver son mentor à Aurora où il pense qu’il a pu se réfugier qu'il va retrouver Perry Gahalowood, le sergent de la brigade criminelle, et sa famille. Il avait fait sa connaissance au moment de l'affaire Quebert et s’était lié d’amitié avec le policier, son épouse Helen et ses deux filles Malia et Lisa.
Alternant les époques, l'auteur nous fait suivre en parallèle l'enquête menée par Perry en 1999 pour retrouver les assassins d'Alaska Sanders, retrouvée par une joggeuse au moment où un ours noir s'attaque à sa dépouille et l'enquête que mène Marcus onze ans plus tard.
Car si dès la page 161, l'affaire est officiellement bouclée avec la mort de Walter Carrey, le petit ami d'Alaska, confondu par son ADN, et celui de son complice Eric Donovan, condamné à perpétuité, l'affaire sera relancée à peine dix pages plus tard, lorsque Marcus retrouve Perry, venu assister aux obsèques d'Helen, qui vient de succomber d'une crise cardiaque. Mais n'en disons pas davantage de peur de gâcher le plaisir à découvrir les rebondissements de ce roman aussi dense que passionnant.
Soulignons plutôt combien les fidèles lecteurs de Joël Dicker trouveront ici de quoi se régaler. Car ils savent que dans ses romans, comme avec les poupées russes, une histoire peut en cacher une autre. Il faut alors recommencer à enquêter, rechercher à quel moment on a fait fausse route. Son duo d’enquêteurs revoit alors son scénario, un peu comme l'écrivain, qui écrit sans connaître la fin de son roman et se laisse guider par le plaisir qu'il rencontre en imaginant les situations auxquelles ses personnages sont confrontés.
Un nouveau page turner dans lequel on retrouvera les thèmes de prédilection de l’auteur, la rédemption «qui n’arrive jamais trop tard», la fidélité en amitié et la ténacité. «Je crois que ce roman raconte avant tout, dans un monde où tout doit être rapide et parfait, comment les relations entre les gens sont devenues superficielles. On ne prend pas vraiment le temps de connaître les autres et fort souvent, quand on fait l’effort de s’intéresser à eux, on découvre des choses cachées, que l’on se refusait peut-être à voir jusque-là. C'est ce que découvrent Perry et Marcus», explique ru reste le Genevois qui m’a accueilli dans les bureaux de sa nouvelle maison d’édition.
Car c’est avec un «double trac» qu’il sillonne désormais la Suisse, où le roman paraît avec une semaine d’avance, et la France pour présenter son roman et défendre sa maison d’édition, Rosie & Wolfe, qui va proposer tous les romans de l’écrivain-entrepreneur dans une version grand format, poche, numérique et audio. J’aurais du reste le plaisir de l’accueillir en mai prochain à Mulhouse. Signalons aussi la rencontre et lecture digitale organisée par l’Éclaireur FNAC le 9 mars à 19h.
https://urlz.fr/hFJh
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