80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Disparu en 1967, à l'âge de 39 ans, dans la guérilla bolivienne, Ernesto Guevara (dit « Che ») continue de fasciner. Fidel Castro a organisé pour lui un véritable culte à Cuba et son portrait, présent dans le monde entier, est le signe de ralliement de l'extrême gauche et de toute jeunesse en quête de révolte romantique. Le Che est partout, symbolisant l'engagement, la droiture et l'altruisme : dans le film-fleuve que lui a consacré l'américain Soderbergh, les dossiers de la presse ou les documentaires. Mais cette icône, à l'image de son portrait par Alberto Korda multiplié maintenant à l'infini sur les t-shirts, tasses, badges et autres bibelots, dissimule-t-elle la véritable existence du Che ? En contrepoint des derniers ouvrages publiés (dont un par Olivier Besancenot), Pierre Rigoulot fait un portrait sans concession du révolutionnaire. Un homme qui, pris dans l'aveuglement de son idéal, était prêt à utiliser tous les moyens (violence, mensonge,...) jusqu'aux pires excès. Il pose aussi la question de sa réelle place dans la révolution cubaine et de son instrumentalisation par Fidel Castro.
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