Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

La seigneurie de Gizay et la ville d'Issoudun : entre convoitise et intérêt (1264-2009)

Couverture du livre « La seigneurie de Gizay et la ville d'Issoudun : entre convoitise et intérêt (1264-2009) » de Marie-Sylvie Laudat-Claveleau et Cyr Gaignault aux éditions Alice Lyner
Résumé:

Située sur la commune de Saint-Aubin, la seigneurie de Gizay a son histoire intimement liée à Issoudun. En 1318, des rentes annuelles et perpétuelles à prendre sur la seigneurie sont destinées à "alimenter" la chapelle Saint-Louis de l'Habillier située à l'époque au carrefour de Villatte.... Voir plus

Située sur la commune de Saint-Aubin, la seigneurie de Gizay a son histoire intimement liée à Issoudun. En 1318, des rentes annuelles et perpétuelles à prendre sur la seigneurie sont destinées à "alimenter" la chapelle Saint-Louis de l'Habillier située à l'époque au carrefour de Villatte. L'établissement de ces charges pesèrent lourd dans sa gestion pendant plusieurs siècles. Il s'en suivi d'innombrables querelles et procès de toute sorte auprès de multiples "protagonistes" : l'Abbaye Notre-Dame, l'Hospice des Incurables, le chapitre de St-Cyr, et même la ville de Châteauroux. Cette seigneurie attira aussi la convoitise de plusieurs particuliers, dont celle du sieur Delestang, procureur du roi au baillage, à la prévoté, à la police et à la maîtrise des bois et forêts d'Issoudun.


Vendue, léguée, démembrée pendant 700 ans, la seigneurie de Gizay se compose de plusieurs entités. C'est l'Hôtel-Dieu (hôpital d'Issoudun) qui en est aujourd'hui son principal propriétaire.

Donner votre avis