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La rue Saint Antoine

Couverture du livre « La rue Saint Antoine » de Claude Dubois aux éditions Jean-paul Rocher
Résumé:

Depuis 1987 Claude Dubois tenait au Figaroscope ladite chronique du Titi et avait publié Des Halles au Balajo, Apaches, voyous et gonzes poilus, La Bastoche, En parlant un peu de Paris (Jean-Paul Rocher), autant de livres consacrés à Paname comme il aime dire. Plus tard il y aurait Paris... Voir plus

Depuis 1987 Claude Dubois tenait au Figaroscope ladite chronique du Titi et avait publié Des Halles au Balajo, Apaches, voyous et gonzes poilus, La Bastoche, En parlant un peu de Paris (Jean-Paul Rocher), autant de livres consacrés à Paname comme il aime dire. Plus tard il y aurait Paris gangster et Je me souviens de Paris.
Rue Saint-Antoine, Claude Dubois est chez lui :
Il a vécu toute sa vie dans le IVe arrondissement, il est allé au lycée Charlemagne. Surtout, ses deux familles se sont rencontrées dans une vieille maison du quartier Saint-Paul - l'«hôtel Dubois-Junet des Courants d'Air», la dénomme-t-il en riant. Sa grand-mère maternelle y a habité près de soixante ans, ses parents s'y sont connus.
D'un point de vue parisien, la rue Saint-Antoine décrite par Claude Dubois est un document essentiel. Gavroche y croise Jules Michelet, Georges Simenon côtoie Pierre Goldmann. Fidèle à son style Titi, Claude Dubois entremêle histoire personnelle, histoire historique, histoire littéraire, histoire des faits divers en saupoudrant ses lignes d'argot quand s'y prête l'anecdote. Bref! Un texte savoureux, souvent érudit.
Claude Dubois s'apprête à ressortir La Bastoche. Si l'on y ajoute cette Rue Saint-Antoine, c'est le passé populaire du Paris s'étendant de la rue de Lappe au métro Saint-Paul qui, en 2011, sera à l'honneur.
L'identité native du Paname d'il y a quelques décennies, aux antipodes du Paris

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