80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il existe à l'heure actuelle, un peu partout dans le monde, des actions de sauvegarde de savoirs et pratiques autochtones, portées par différentes structures afin de développer l'économie locale tout en préservant la biodiversité. Toutefois, ces projets peuvent entraîner des conflits d'usages et interroger sur les conséquences à plus ou moins long terme. Il a semblé intéressant de chercher si une démarche similaire avait existé autrefois, circonscrite dans le temps et l'espace, qui pourrait servir de terrain d'étude d'impacts, en utilisant les outils actuels de la méthodologie d'évaluation. Le choix s'est porté sur la filière des PPAM (Plantes à Parfum, Aromatiques et Médicinales) porteuse d'enjeux socio-économiques présents et futurs importants, qui a bénéficié de 1919 à 1939, d'une politique publique de promotion en France. Cette recherche action s'accompagnait d'une proposition de création d'un jardin d'insertion PPAM pour les femmes en difficultés socioprofessionnelles pour lesquelles il existe peu de structures dédiées.
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