80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Franklin Boukaka fut un artiste musicien congolais engagé. En 1970, il sort un album intitulé Le Bûcheron, où il chante la détresse de l'Afrique, continent malmené, dans lequel on ne peut lever la tête au risque d'être abattu comme un arbre par les bûcherons vêtus de costume présidentiel. Dans cet élogieux album Le Bûcheron, il dénonce les iniquités sévissant en Afrique, après les indépendances. Il demande aux Africains d'en prendre conscience, tout en réclamant la mobilisation de tous pour une indépendance intégrale des nations africaines.Ses réflexions politiques étaient à la hauteur du débat. Il chantait la liberté de l'Afrique sans condition et illustrait avec force les panafricanistes qui marquèrent leur présence sur la scène politique à travers le monde. Cet album au contenu nationaliste et panafricaniste appelle les dirigeants à prendre conscience de la situation précaire du continent. Franklin Boukaka est ainsi la voix des sans voix, telle est la formule d'Aimé Césaire in Cahier d'un retour au pays natal. C'est ce que nous nous sommes efforcé de démontrer dans ce présent ouvrage.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année