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Ce à quoi nous aspirons est d´inscrire notre réflexion en marge, dans ce que la pensée postmoderne confine dans un « underground » intellectuel. Notre discours, nous le voulons radical. Car que reste-t-il de l´Homme ? Rien ! Ou plutôt plus grand-chose ! Tout « en-dehors », tout en superficialité, rien n´émane plus « du-dedans ». La « haute » technologie a ravi les regards.
La pensée aveugle, ce « savoir ignorant » qu´est la pensée postmoderne, appelle à la « transcendance de l´ego », à la « temporalisation de la temporalité » diraient certains phénoménologues existentialistes, ne laissant qu´un vide nécessaire à l´accueil du dehors. Tuer l´ego transcendantal afin de préparer l´avènement. Celui de l´homme désincarné et déterminé par le regard d´autrui ou pire encore : par l´objet. Une vie par procuration, une vie qui ne pense plus et une pensée qui ne vit plus.
Né en 1976, année de la mort d´Heidegger, Hakim Fédaoui se veut appartenir, à l´instar de Mehdi Belhadj Kacem bien qu´aux antipodes de sa « pop philosophie », à ces « philosophes édifiés » qui tentent de vivre leur philosophie d´abord, plutôt que de la dire. Sa préoccupation majeure est de « re-mettre » la vie au centre de l´humain, de « ré-apprendre » la nécessité du « sens » et de combattre le « non-sens » qui gagne les consciences.
Son premier essai, Islam, Prélude à un commencement perdu, est paru aux éditions Amalthée en 2007.
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