Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
L'oeuvre de Giorgio Morandi a su traverser, sans jamais y adhérer complètement, de nombreux mouvements artistiques de la première moitié du XXe siècle. Une peinture à l'indépendance marquée, mais toujours attentive aux interrogations plastiques de son temps; résultat d'une pensée picturale née de la culture italienne, ainsi que d'influences capitales, comme Cézanne ou Chardin. La critique considéra sa peinture de façon variée selon les époques, et participa amplement à l'élaboration du mythe de l'artiste reclus: l'étudier permet donc de mieux concevoir les changements dans la conception collective de la qualité d'une oeuvre et de la valeur de l'art, et de constater combien celle-ci peut-être influencée par l'ordre politique établi. C'est ce que propose ce travail en trois parties: une présentation de l'artiste et de son univers nous permettent dans un deuxième temps d'analyser le contexte culturel de sa formation, pour ensuite s'intéresser aux différentes interprétations de son langage pictural. Enfin, le caractère classique de l'oeuvre est abordé à travers le lien qui unissait le critique Roberto Longhi à Morandi et la rupture interprétative qui s'ensuivit chez Arcangeli.
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