Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
La Cure évoque un voyage entrepris en Inde en l'an 2000, 7 semaines de ma vie dont 3 dans un village de lépreux et 4 au Rajasthan. C'est le fil conducteur. Le prologue est un cri, un coup de gueule, une pratique courante aujourd'hui. Au fil du récit de voyage, des pensées germent sur les habitudes, les comportements, le plastique, l'histoire, les souvenirs, les guerres, la croissance, les frontières, sur tout et sur rien. À la base c'est très personnel, une sorte d'exutoire pour sortir le mauvais en moi en le confrontant au pathétisme de l'humanité. En toile de fond se trouve le déréglément climatique. Robert, le « héros », est mon alter ego. On se parle de temps en temps. À l'inverse, très peu de dialogues avec les autres personnages, on parle trop pour ne rien dire... Le lecteur est sollicité tout du long. Ma Cure vise la dualité, la binarité, la contradiction, l'antagonisme, le blanc-noir, les gentils les méchants. C'en est devenu jubilatoire pour partir dans l'espace. J'ai toujours aimé les étoiles... la nuit...
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