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Au commencement était le Verbe.
Le verbe synonyme de parole ? Non.
Le verbe synonyme d'action, alors ? Peut-être.
Mais lorsque cette action est malveillante, récurrente et exercée sur un être qui n'est pas encore doué de parole - un enfant (in-fens) -, alors les mots ainsi que les émotions sont tus.
Un vide immense envahit cet être assujetti par la violence et qui devient alors avide d'affection falsifiable, tout autant que de tristesse masochiste.
Qui oserait, qui pourrait initier un voyage intérieur dans ce monde de non-dits où seule la souffrance est reine ? Seules les victimes d'attachement précaire le peuvent.
Je vous invite à partager les poèmes de ce recueil que je ramène, tels des trésors, de mon introspection et qui m'ont guidé tout droit sur l'« île mélancolie » : c'est le deuil inconcevable de soi qui réclame sans cesse, comme un dernier refuge, une mort apaisante. C'est l'anxiété permanente et la tristesse qui submergent sans raison tous les jours de ma vie.
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