Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Lorsque Henry David ð»oreau debute la redaction dfun journal, il a vingt ans ; il le tiendra jusqufa sa mort en 1862.
Ce Journal, par sa taille (pres de 7000 pages) et par son contenu, constitue une oeuvre litteraire absolument unique.
Tout a la fois manifeste philosophique, recueil poetique, precis naturaliste ou manuel dfethnologie, il est avant tout un document passionnant sur la vie quotidienne et intellectuelle dans les Etats-Unis du xixe siecle. On y trouve exposees, a travers son regard contemplatif sur le monde, toute la pensee de ð»oreau et la matiere brute de ses ouvrages, de Walden a la Desobeissance civile. OEuvre majeure, ce Journal est souvent cite comme un des piliers de la culture americaine et comme le grand texte fondateur de lfecologie.
Au debut de ce deuxieme volume, en 1841, H.D. ð»oreau a 24 ans, sa personnalite sfaffirme et son Journal gagne en profondeur. Son champ de reflexion sfelargit : si la nature et ses phenomenes restent son sujet favori, il sfinteresse egalement a la musique, a lfevolution de la poesie et meme a la philosophie hindoue. Volontiers iconoclaste, a contrecourant des idees de son temps, ð»oreau se revele un esprit libre et profondement original.
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