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Natalio Grueso

Natalio Grueso
Originaire d'Oviedo, l'Espagnol Natalio Grueso a consacré sa carrière à la gestion culturelle et aux relations internationales, domaines dans lesquels il a occupé des postes de responsabilité au sein de diverses institutions au rayonnement mondial. Il fut notamment administrateur du Teatro Españo... Voir plus
Originaire d'Oviedo, l'Espagnol Natalio Grueso a consacré sa carrière à la gestion culturelle et aux relations internationales, domaines dans lesquels il a occupé des postes de responsabilité au sein de diverses institutions au rayonnement mondial. Il fut notamment administrateur du Teatro Español et directeur des arts scéniques de la Ville de Madrid. La Soledad, son premier roman, a été traduit dans cinq pays.

Avis sur cet auteur (8)

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    Couverture du livre « Le chasseur de rêves » de Natalio Grueso aux éditions Pocket

    Nausicaa Jn sur Le chasseur de rêves de Natalio Grueso

    Ce livre est une véritable invitation aux rêves et aux voyages. Une histoire très poétique qui nous emmène en différents lieux, dans la vie de différentes personnes et où différentes rencontres se font. Il s'agit d'une très belle histoire, que je conseille vivement.

    Ce livre est une véritable invitation aux rêves et aux voyages. Une histoire très poétique qui nous emmène en différents lieux, dans la vie de différentes personnes et où différentes rencontres se font. Il s'agit d'une très belle histoire, que je conseille vivement.

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    Couverture du livre « La soledad » de Natalio Grueso aux éditions Presses De La Cite

    Violaine belouard sur La soledad de Natalio Grueso

    La Soledad, vaste sujet !


    Apprivoiser ce sentiment est peut-être la plus dure chose que l'humain doit faire dans sa vie. On est tous confrontés à ce moment où on ne peut plus reculer face à soi-même !

    Bruno l'a compris, on dirait presque qu'il l'a recherchée cette solitude. Il a mis sa...
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    La Soledad, vaste sujet !


    Apprivoiser ce sentiment est peut-être la plus dure chose que l'humain doit faire dans sa vie. On est tous confrontés à ce moment où on ne peut plus reculer face à soi-même !

    Bruno l'a compris, on dirait presque qu'il l'a recherchée cette solitude. Il a mis sa vie bien remplie de côté pour savourer le dernier pan (pas forcément le plus court d'ailleurs) de sa vie. Il prend des habitudes évidemment et vient le jour de la rencontre avec une beauté qui surgit presque d'un songe. Et nous voilà embarqués dans l'histoire, leur histoire. Car si les rencontres se font parfois facilement, se donner à l'autre n'est pas chose aisée. Bruno devra réussir le pari fou d'émerveiller sa belle Japonaise pour qu'enfin vienne le moment tant attendu, celui où elle se donnera corps et âme à lui.

    Il nous fera découvrir des histoires plus fortes les unes que les autres et gardera toujours entre elle un lien. Ce livre n'est donc pas un recueil de nouvelles mais il se présenterait presque comme un conte. Chaque personnage nous conduit petit à petit vers ce que Bruno considérera comme sa plus belle histoire.

    J'ai trouvé ce livre particulier. Ni un conte, ni un recueil de nouvelles, ni un roman. Plutôt un ensemble d'histoires d'Hommes reliées entre elles par un Homme, Bruno. Il est le guide d'un voyage initiatique pour charmer la belle de ses rêves.

    J'ai eu du mal à entrer dans le concept au début et puis à la fin j'ai été surprise par ce livre et j'ai mis un peu de temps à en sortir. Je repensais à certains passages en essayant de retrouver leur signification dans l'ensemble du récit et ainsi trouver le message délivré par l'auteur.


    Il fait état de la solitude et écrire sur ce sujet est relativement délicat car souvent c'est un sentiment que les gens n'aiment pas trop. Il oblige à se regarder et à se remettre en question ! Il faut être prêt à accepter de ne pas remplir sa vie juste pour se cacher. L'auteur a une jolie manière d'écrire sur ce thème et c'est ce qui rend l'ouvrage attachant.

    Ce livre ne laisse pas indifférent !

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    Couverture du livre « La soledad » de Natalio Grueso aux éditions Presses De La Cite

    Camille Capron sur La soledad de Natalio Grueso

    Bruno Labastide vit à Venise, homme solitaire dans une ville « la plus mélancolique et solitaire du monde ». Un jour, alors qu’il est attablé à son café habituel, une jeune femme attire son attention. Cette jeune fille, c’est Keiko, une japonaise mais aussi une prostituée qui ne couche qu’avec...
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    Bruno Labastide vit à Venise, homme solitaire dans une ville « la plus mélancolique et solitaire du monde ». Un jour, alors qu’il est attablé à son café habituel, une jeune femme attire son attention. Cette jeune fille, c’est Keiko, une japonaise mais aussi une prostituée qui ne couche qu’avec l’élu : celui qui saura l’émouvoir par une histoire.

    Que pourrait donc lui écrire Bruno, cet homme solitaire et voyageur ?



    C’est ainsi que débute ce roman doux et poétique : on découvre Bruno et Keiko. Puis les parties suivantes du roman s’enchainent : histoires qu’inventent Bruno, récits de sa propre vie…

    « La Soledad » est un ensemble de récits enchâssés, un ensemble d’histoire entremêlées qui nous emmène à Venise puis en Amérique latine, tout ceci en passant par la Russie et tant d’autres endroits !



    C’est un roman que j’ai adoré (je suis proche du coup de cœur) ! J’ai beaucoup apprécié ces différentes parties (qui n’ont aucun rapport l’une à l’autre excepté le début et la fin du roman et toutes les parties qui concernent Bruno) et les thèmes qu’elles abordent. Celle sur un certain Pinkerton m’a énormément plu : l’histoire d’un homme qui a racheté les droits d’utilisation de toutes les langues, maintenant chaque personne doit payer pour pouvoir parler ou écrire un mot !

    Outre l’originalité de ces différentes parties, j’ai apprécié le fait que chacune est le reflet d’un message voire une leçon sur la vie.



    Peut-être que ma chronique reste floue et vague… Mais un seul conseil : laissez-vous porter par cette virée imaginaire, laissez-vous emporter par la plume douce et poétique de l’auteur !

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    Couverture du livre « La soledad » de Natalio Grueso aux éditions Presses De La Cite

    Catherine Airaud sur La soledad de Natalio Grueso

    Un très beau texte : bien sûr, la soledad veut dire être seul, solitaire, mais notre personnage principal et narrateur de ce texte se retrouve seul, voyage seul mais qu’est ce qu’il fait de belles rencontres. Des rencontres dans le monde entier de solitaires et de solitudes. De belles pages sur...
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    Un très beau texte : bien sûr, la soledad veut dire être seul, solitaire, mais notre personnage principal et narrateur de ce texte se retrouve seul, voyage seul mais qu’est ce qu’il fait de belles rencontres. Des rencontres dans le monde entier de solitaires et de solitudes. De belles pages sur le monde et les êtres humains : que ce soit ce pianiste suisse qui ne fait jamais une fausse note, que ce soit Jonas, ce jeune guide sur les plateaux de l’altiplano, la belle et mystérieuse Comtesse qui boit du champagne au petit déjeuner (et pourquoi pas d’ailleurs !), Khaleb qui rêve d’être footballeur mais qui n’est pas né dans le pays « adéquat », Keiko la jeune japonaise qui est une sorte de Schéhérazade. Il rencontre des hommes avec de beaux métiers, un prescripteur de lecture, un chasseur de rêve… Ce narrateur à la fois aventurier, correspondant de guerre, universitaire à la recherche de vieilles légendes andine nous raconte sa vie et décrit ses rencontres dans les villes du monde entier. Ce livre donne aussi envie de voyager et d’aller découvrir ces autres nations et faire d’aussi belles rencontres. Un de mes coups de cœur de la rentrée. « « C’est que je voudrais que ma petite-fille ait une vie meilleure que la mienne, et je sais qu’on trouve çà dans les livres » » (p38) « Mais parfois, lire fait du mal, parfois mieux vaudrait ne pas avoir tant lu.» (p40) « Parfois, le poids de la mémoire peut se révéler insupportable, et on ne sait plus alors ce qui fait le plus mal, les souvenirs heureux ou malheureux, car tous finissent par devenir tristes. » (p152) « Tel est peut être le grand mal de notre temps, le fait que tout le monde pense avoir le droit de tout juger, d’avoir une opinion sur tout et ne disposant que d’une infinie partie des faits, comme le marin bouffi d’orgueil qui méprise l’iceberg sans savoir ce qui se trouve en-dessous . » ( p269) « La seule chose qu’il comprit clairement, c’est que l’être humain peut être d’une cruauté diabolique, et qu’à la fin chacun reste seul et désemparé sous les étoiles, si magnifiques soient elles. » (p278) « Dans tout ce livre, il n’y a qu’une chose totalement autobiographique : la première phrase. » (Épilogue)

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