80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Londres, juillet 44, les bombes pleuvent sur la ville. John G. Morris est photo-éditeur au prestigieux magazine américain Life où il est chargé depuis 1943 de la couverture photo de la guerre en Europe occidentale. C'est lui qui a sauvé onze images du reportage historique du débarquement en Normandie réalisé le 6 juin 44 par Robert Capa dont les films ont été endommagés au développement.
John ne tient plus en place à Londres. Muni d'un appareil photo emprunté au bureau, il décide de partir pour la France. Pendant un mois, il va suivre la progression des troupes américaines, en Normandie, puis en Bretagne, accompagnant les photographes de Life Bob Capa, Robert Landry, Frank Scherschel...
Il y rencontre des populations qui accueillent les Américains à bras ouverts mais découvre aussi une armée allemande en déroute. Devenu photographe pour la seule fois de sa vie, il rapporte une douzaine de pellicules en noir et blanc oubliées dans ses tiroirs jusqu'à ce jour.
Ses images fraîches et émouvantes, rassemblées pour la première fois dans un livre, accompagnées des lettres qu'il écrivit à sa femme depuis " quelque part en France " (somewhere in France) en raison de la censure, relatent sa rencontre enthousiaste avec un pays et des gens qu'il découvre et aime déjà.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année