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Trois figures originales de curés de Paris qui ont oeuvré dans leur paroisse respective durant plusieurs décennies sous la III e République anticléricale.
Le plus étonnant est sûrement l'abbé Jouin (1844-1933) : nommé à Saint Augustin, il entreprend la publication des Protocoles des sages de Sion, considéré comme un pamphlet antisémite. Hyperactif, ni sa hiérarchie ni ses paroissiens ne se sont opposés à de tels déferlements. Aujourd'hui, à Saint Augustin, il est totalement oublié.
Pierre l'Ermite ou l'abbé Loutil (1879-1859) : infatigable, il commence son ministère de conférencier à Clichy et à Saint-Roch. Il a tiré très tôt un bon parti de ses talents de journaliste. Dès 1895, il devient chroniqueur de La Croix (pas moins de 3 000 articles) et rédacteurs de plus de 30 romans (dits sacerdotaux). Son inlassable et infatigable action de collecteur de fonds fera de lui le soutien de bien des constructions d'églises ou d'écoles ou autres bâtiments paroissiaux.
Georges Chevrot (1888-1959) : le plus brillant des trois. Vicaire, aumônier militaire, missionnaire diocésain, il est nommé à 50 ans curé de Saint François de Xavier. Sa grande réputation le fait devenir conférencier à Notre-Dame. Il devint un grand résistant et jusqu'au bout, il se dévoua sans réserve.
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