"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La jeune Maria, comme toutes les jeunes filles, n'aspire qu'à l'aventure, au grand amour, et rêve de vivre un conte de fées...
Mais la réalité est souvent autre. Attirée en Suisse par un homme qui lui promet monts et merveilles, le retour à la réalité est terrible. Maria en vient à se prostituer, apprenant à bien séparer l'esprit de la chair et s'interdisant de tomber amoureuse. Mais le sexe, comme l'amour, reste pour elle une énigme. Onze minutes est le parcours initiatique d'une jeune prostituée brésilienne qui passe par la réconciliation de l'âme et du corps, et s'achève par un retour aux valeurs romantiques qui leur sont liées.
Cet ouvrage est à la fois fascinant et déstabilisant... C'est avec celui-ci que j'ai découvert l'écriture de Paulo Coelho et j'en suis fan!
« C’est cela la véritable expérience de la liberté : avoir la chose la plus importante au monde, sans la posséder. »
Je suis assez déçue de ce roman de Paulo Coelho, que normalement j’aime tant.
Je n’ai pas été sensible à cette histoire.
On suit Maria, une jeune brésilienne en quête d’aventure (avec un côté un peu naïf) arrivant en Suisse après les belles paroles d’un homme d’affaire meneur de Cabaret.
Elle va faire l’apprentissage de sa sexualité entre prostitution, sadomasochisme et grand amour.
Elle oscille entre la quête d’amour et la quête d’argent pour se mettre à l’abris financièrement une fois qu’elle sera de retour au Brésil.
Très belle histoire qui perturbe également tant elle est déroutante.
le premier livre de Coelho que j'ai lu. un roman qui n'est pas qu'un roman, à lire entre les lignes comme tous les Coelho. A relire sans doute pour mieux l'apprécier encore !
il est tellement captivant ce roman...
Etonnant ce livre qui est en décalage total avec les précédents, pas le moindre coté ésotérique, juste une belle aventure... à lire
pour moi c'est le meilleur roman que j'ai jamais lu
Il faut toujours se méfier d'un roman qui commence par "il était une fois", en général à notre époque ça cache une volonté de plaire au plus grand nombre, surtout aux gens qui lisent très peu. On l'aura compris, j'ai détesté ce livre. Le style est au plus simple pour ne surtout pas déconcerter le lectorat moyen, l'histoire peut se passer n'importe ou dans le monde qu'on n'y verrait pas la différence tellement l'esprit du Brézil (pour le début du roman) est pour ainsi dire peu présent. D'ailleurs je me suis arrêté avant la fin tellement ça regorgeait de clichés. Une véritable torture ! Mais à mon grand désespoir, je crois que la littérature de demain dans ce monde globalisé ressemblera assez à ça, c'est-à-dire une littérature qui se fera dans la monoculture pour que chaque lecteur de chaque pays y trouve son compte. Sans compter une chose récurrente chez Coelho, de toujours faire dans la pseudo quête mystico-sexuello-chrétienne à moitié bouddhiste. Je n'ai plus qu'un seul adjectif pour décrire ce roman : Gerbant !
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