Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"guyane, pour tout dire", vaticinait le poète serge patient.
Car, comment dire ? et quoi dire ? tâche difficile voire impossible, mais entreprise salutaire. aussi bien, à son exemple, faut-il que tour à tour chacun ait à coeur de s'interroger, au lieu de l'origine, au premier commencement de l'inquiétude identitaire collective. qui et quels sommes-nous ? qu'est ce pays devenu ? quelle en est la raison d'être, le centre de gravité ? a cette question entêtante, aujourd'hui comme naguère constamment recommencée, s'il est une réponse peu ou prou éclairante, d'utiles éléments en sont d'ores et déjà, là, réunis.
Ce pour quoi il est de bonne méthode de relire michel lohier. toute modeste soit-elle, son oeuvre est un viatique au sens propre du mot. pour remonter à la source du fleuve, à travers les forêts amazoniennes, il est un guide discret mais des plus fiables. extrait de la préface du professeur roger toumson.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
Le jury et les internautes récompensent ce roman publié aux éditions l’Arpenteur