80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
L'homme d'aujourd'hui vit pour lui-même sans aucune référence à l'autre homme. Son action et sa conduite ne tiennent compte que de lui tout seul, oubliant ainsi qu'en tant qu'homme, on existe que par rapport à autrui. Je ne suis réellement homme que si à côté de moi existe autrui dont j'assume la pleine responsabilité automatique. Reconnaître mon être à travers celui de l'autre, supprime l'égoïsme en moi et m'amène à assumer ma responsabilité vis-à-vis de l'autre afin de lui vouloir le même bien que je me veux à moi-même. C'est dans le seul rapport éthique qu'une telle substitution est possible. Car le Moi portant l'autre, chacun ne vit plus pour lui-même mais pour l'autre et ainsi, une solidarité constructive d'un nouveau monde où les uns et les autres se portent et se supportent dans l'édification de notre maison commune au sein de laquelle chacun vivra heureux et soucieux du bonheur de l'autre en priorité et du sien. Cet ouvrage invite à la responsabilité par la reconnaissance de son humanité dans la personne de l'autre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année