Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Les années 1970 et 1980 furent d'une délicieuse légèreté. À cette époque-là, Jean-Claude Larrieu voyageait beaucoup, pour d'innombrables tournages, mais il rentrait toujours vers le port d'attache de la rue de la Goutte d'Or. Et il continuait là à photographier, calmement, sans obligation portée par un « projet », au rythme des petits événements du quotidien.
Dans cet immeuble où chacun avait son chez soi mais où tous étaient amis et avaient en commun le partage, Jean-Claude Larrieu se fit le chroniqueur de cette vie, davantage bohème par nature que par décision. On croise, dans les repas inventés sur le toit aussi bien que lors des escapades en Provence ou dans les moments feutrés près de la cheminée, des écrivains ou des artistes qui deviendront célèbres, des anonymes destinés à le rester, des amis fidèles et éternels, des beaux garçons de passage ou installés pour longtemps, des complices de repas qui devenaient à chaque fois une fête. Le quotidien d'un groupe tissé d'affinités, informel et en même temps constitué autour du photographe et de ses plus proches.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile