"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Je sais à quoi m'attendre, je l'ai vu dans un reportage sur la Mongolie. Je n'ai jamais rien vu de mieux à la télé, hormis le Grand Prix de Formule 1 de 1993 où Senna s'est révélé être un génie de la conduite sous la pluie. Donc, ce documentaire m'a ouvert les yeux : quand un chien a fini de vivre sa vie de chien, il se réincarne en homme. Je me suis toujours senti presque humain. J'ai toujours su qu'il y avait quelque chose en moi de différent des autres chiens. Bien sûr, je suis coincé dans le corps d'un chien, mais ce n'est que l'enveloppe extérieure. C'est ce qu'il y a à l'intérieur qui compte : l'esprit. Et mon esprit est tout ce qu'il y a de plus humain. » Au crépuscule de sa vie, Enzo (comme Enzo Ferrari, un hommage de son maître à ses modèles) revient sur son existence aux côtés de Denny, un pilote et un homme d'exception qui lui a tout appris : vivre sa vie comme une course, garder l'oeil fixé sur la ligne d'arrivée, ne jamais abandonner malgré les embûches - même quand les éléments ou la mesquinerie des hommes essaient de vous faire quitter la route, et surtout : toujours croire en la victoire...
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