Après une enfance très rude, baignée dans le poids de la religion et la culpabilisation sous-jacente qui accompagne naturellement ce parcours, Sofia Curado se réveille à l'âge de trente ans avec l'impression de marcher à côté de sa vie. C'est alors qu'elle découvre sa douance.
Elle s'écrit donc pour inviter ses semblables à se faire davantage confiance, à retrouver l'enfant primordial qui, loin de la corruption du monde, était authentique, définissant la personnalité, la seule et vraie.
Comment s'épanouir dans un monde sans bienveillance qui met en valeur la réussite matérielle, le pouvoir sur l'autre, l'exploitation des ressources, de l'humain, des animaux, de la nature ? Comment bien se sentir quand toutes les valeurs sont inversées ?
L'auteure prend donc sa vie à témoin dans ce livre pour créer sa vérité, par des mots qui chantent, à qui veut l'entendre.
Les joies de son hypersensibilité couchées sur papier ont l'effet de pérenniser une vie modus operandi pour des hommes qui veulent regarder au fond de leur coeur et faire briller ce substrat délicieux de leur personne, de leur véritable personne.
Bonne lecture !
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