Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
De Georges Villars, premier parolier de Vincent Scotto en 1906, à René Sarvil (dont c'est l'anagramme phonétique), son dernier porte-parole dans Marseille mon pays (1951) pour Tino Rossi, c'est toute l'histoire des opérettes marseillaises qui nous est proposée.
Etiquetées dans le répertoire comique de divertissement, elles eurent à souffrir d'un dédain provoquant un déficit de respectabilité. Coincées entre l'habit vert de la " pagnolade " et le débraillé du folklore des " marseillaiseries ", elles ne furent jamais reconnues à leur juste valeur. Il sera injustement fait grief aux opérettes marseillaises d'avoir prêté un flanc trop complaisant à la critique parisienne.
Celle-ci ne manquera pas de se gausser de ces Méridionaux hâbleurs ; image pourtant installée par Alphonse Daudet et réanimée par Marcel Pagnol. De malveillances en incompréhensions, souvent de la part des Marseillais eux-mêmes, ces opérettes auraient pu définitivement disparaître de la mémoire du spectacle et sa véritable histoire aurait alors été oubliée. Cet ouvrage, le premier sur le sujet, devrait permettre à ce théâtre musical chanté (comédie musicale), authentique et populaire, d'être reconnu comme faisant partie du patrimoine culturel marseillais.
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