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La lumière de la foi (Lumen Fidei) : Par cette expression, la tradition de l'Église a désigné le grand don apporté par Jésus, qui, dans l'Évangile de Jean, se présente ainsi : " Moi, lumière, je suis venu dans le monde, pour que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres " (Jn 12, 46). Saint Paul aussi s'exprime en ces termes : " Le Dieu qui a dit 'Que des ténèbres resplendisse la lumière', est Celui qui a resplendi dans nos coeurs " (2 Co 4, 6). Dans le monde païen, épris de lumière, s'était développé le culte au dieu Soleil, le Sol invictus, invoqué en son lever. Même si le soleil renaissait chaque jour, on comprenait bien qu'il était incapable d'irradier sa lumière sur l'existence de l'homme tout entière. En effet, le soleil n'éclaire pas tout le réel ; son rayon est incapable d'arriver jusqu'à l'ombre de la mort, là où l'oeil humain se ferme à sa lumière. " S'est-il trouvé un seul homme qui voulût mourir en témoignage de sa foi au soleil ? "[1] demande le martyr saint Justin. Conscients du grand horizon que la foi leur ouvrait, les chrétiens appelèrent le Christ le vrai soleil, " dont les rayons donnent la vie "[2].
À Marthe qui pleure la mort de son frère Lazare, Jésus dit : " Ne t'ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? " (Jn 11, 40). Celui qui croit, voit ; il voit avec une lumière qui illumine tout le parcours de la route, parce qu'elle nous vient du Christ ressuscité, étoile du matin qui ne se couche pas.
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