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La cavalerie francaise, automne 1813

Couverture du livre « La cavalerie francaise, automne 1813 » de Penichon Christophe aux éditions Thebookedition.com
Résumé:

De manière quasi unanime, les commentateurs des guerres napoléoniennes ont porté un jugement plutôt sévère a l'encontre de la cavalerie française lors de la campagne de Saxe, estimant que ses performances n'avaient pas été à la hauteur des attentes que l'empereur avait placées en elles malgré... Voir plus

De manière quasi unanime, les commentateurs des guerres napoléoniennes ont porté un jugement plutôt sévère a l'encontre de la cavalerie française lors de la campagne de Saxe, estimant que ses performances n'avaient pas été à la hauteur des attentes que l'empereur avait placées en elles malgré les moyens mobilisés pour la reconstituer. Ordinairement attentif à la gestion comptable de son armée, Napoléon cultivait la conviction que la solution à l'infériorité de ses effectifs résidait dans une inflation numé-rique dont l'urgence de la mise en oeuvre avait progressivement pris le pas sur toutes formes de considérations qualitatives.L'encadrement était cependant encore excellent. Les sous-officiers expérimentés avaient remplacé les cadres disparus en Russie ou devenus impropres au service. Les régiments de dragons prélevés sur les Armées d'Espagne convergeaient sur la Saxe, apportant un contingent d'officiers chevronnés dont beaucoup y combattaient depuis plus de cinq ans. La confiance était là, le moral encore bon. Mais le temps manquait pour instruire la troupe car au crépuscule de l'Empire, la Grande Armée manquait de tout...La situation n'était pas meilleure sur les théâtres d'opérations secondaires d'Italie et d'Espagne où les dernières phalanges impériales se préparaient à affronter un ennemi nombreux et déterminé à prendre sa revanche. Soult s'était fait rétribuer pour prendre sans conviction son commandement dans les Pyrénées tandis que Murat à Naples se préparait à trahir.A l'image des deux précédents, ce troisième répertoire, comprenant les noms de 3863 officiers de cavalerie en service à l'automne 1813, dresse la liste de ces militaires, la plupart inconnus du public, qui, en participant à l'épopée, se sont également battus pour la France.

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