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La Marne est à la France ce que la bataille d'Angleterre sera pour les Anglais en 1940 : une bataille où s'engagent toutes les forces d'une nation contre l'invasion. C'est pourquoi on parle du miracle de la Marne. Fin août 1914, la France est envahie, les soldats de Joffre font retraite depuis quinze jours, le gouvernement est parti à Bordeaux, trois armées allemandes marchent sur Paris. La guerre est perdue. Et c'est le miracle. Sur 245 kilomètres, de Meaux à Verdun, la résistance s'organise. Les civils aident les soldats, les soignent, les enterrent, renseignent, nourrissent, cachent. Cinq journées atroces, durant lesquelles les pantalons rouges prennent leur revanche, et gagnent. Le miracle, c'est leur courage et celui des populations. Les poilus de la Marne ont sauvé le pays. Ils ne savent pas qu'ils en ont encore pour quatre ans. Fin août, la guerre est perdue, la France envahie jusqu'à la Marne. Et c'est le miracle. Raconter la Marne, cet incroyable sursaut, ce n'est pas seulement parler des taxis, des trains de secours de Joffre, mais aussi des marais de Saint-Gond, des Marocains sur l'Ourcq, des attaquants de Mondement. C'est faire revivre une histoire oubliée. Les pantalons rouges ont eu leur revanche. En sept journées atroces, ils ont gagné. Ils sont vainqueurs. Le vrai miracle, c'est leur courage. Les poilus de la Marne ont sauvé le pays. Même si après leur victoire, il leur faudra s'enterrer pour quatre ans dans les tranchées, et tenir jusqu'à la fin du cauchemar.
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