80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Plus de deux ans après la première édition, en espagnol, de ce livre L'ensorceleur de la tribu, - impitoyable critique de la pensée politique néolibérale de Mario Vargas Llosa - celui-ci n'a toujours pas accepté de débattre publiquement avec son auteur Atilio Boron. C'est dire si le lauréat du prix Nobel de littérature 2010 se sent peu sûr de lui et de ses arguments face au docteur en sciences politiques, diplômé de Harvard et l'un des plus grands intellectuels d'Amérique latine. [...]L'écrivain péruvien n'a pas toujours été néolibéral. Comme Atilio Boron le montre ici fort brillamment, il fut un temps où le romancier était un militant progressiste intransigeant. Car à l'évidence, deux Vargas Llosa coéxistent en une même personne: d'une part, un essayiste pâteux, éditorialiste laborieux, taliban fanatique et frénétique du néolibéralisme; et, d'autre part, un romancier indiscutablement talentueux, demeuré fidèle , d'une certaine manière, à l'idéalisme de sa jeunesse.
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