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« "Et vous, quelle violence trouvez-vous juste ?", c'est ce que j'aurais aimé leur dire. Mais là encore je n'ai pas trouvé le courage. Ce n'est pas constant, le courage. » Au début, elles étaient quatre. Il y avait cette annonce d'un hameau à vendre dans le Tarn, loin de tout. Alors un projet est né, le rêve d'un lieu construit par et pour les femmes. Elles l'ont fait. Claude, Harriet, Élie, Anna. Jeunes, vieilles, toutes forgées par les tentatives d'autres avant elles, guerrières jusque-là tenues au silence.Mais voilà : aujourd'hui, Claude doit répondre du meurtre d'un homme. Deux gendarmes lui font face, attendant que cette mère de famille au prénom épicène reprenne tout depuis le début. De l'utopie à la riposte. Ce jour où Claude et ses soeurs ont pris les armes.
Que sait-on de la violence des femmes ? De l'arrière-pays toulousain aux terres des amazones de l'Oregon, Femme portant un fusil est le récit d'une quête pour se réinventer, une ode à l'amitié et à la liberté.
« Thème intéressant plus procédé narratif captivant, j'ai adoré. » Ambre Chalumeau, Quotidien « Ce thriller haletant renouvelle nos mythes, rend aux femmes une place centrale, complexe, richissime, pour penser d'autres aventures, d'autres plaisirs, d'autres futurs. » Kareen Janselme, L'Humanité "C'est un livre puissant et radical, qui dessine une formidable galerie de portraits de femme et rappelle la force du collectif !" Librairie Majo, Paris "Un roman aussi instructif qu'haletant où la sororité fait résonner la voix haut perché de Kate Bush comme l'hymne de ses néo « guérillères ». " Librairie Ici, Paris 2 "Un roman où la sororité résonne avec passion et où la question de la légitimité de la violence est centrale. Je ne l'ai pas lâché !" Librairie Montbardon, Bourg-en-Bresse À propos de l'autrice Sophie Pointurier est enseignante-chercheuse et directrice de la section Interprétation en langue des signes à l'ESIT (École supérieure d'interprètes et de traducteurs) - université Sorbonne-Nouvelle. Elle est l'autrice d'un premier roman remarqué : La Femme périphérique (HarperCollins « Traversée », 2022 ; HarperCollins Poche, 2023).
À propos de La Femme périphérique « Une réussite. » Claire Julliard, L'Obs « Parfaitement construit, très drôle et étayé de références historiques, ce premier roman se dévore. » Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Point de vue Mona Chollet : « Un délice ! » et le cite dans son livre D'images et d'eau fraîche (Flammarion) pour saluer « l'ironie ravageuse » de son « beau roman ».
Plusieurs amies m’ont encouragées à lire ce roman au titre prometteur ou aguicheur ! En quoi une femme portant un fusil pouvait elle être mise ainsi en scène.
Coïncidence ou pas je venais de lire un article sur les meurtres commis par des femmes et non sur des femmes, les jugements envers ces criminelles étaient reconnus beaucoup plus sévères que ceux des hommes car au crime contre une personne s’ajoute le crime contre la vie, brisée par une femme censée la donner !
Donc, Claude et ses amies, propriétaires d’un hameau dans le Tarn se trouvent embarquées dans une chasse aux tueurs de femmes alors qu’elles souhaitent simplement vivre à l’écart du monde masculin brutal, comme au temps des béguinages dans les Flandres ou des sociétés hippies dans les années 70 aux états unis, qui ont tous deux disparu et qui prônaient le vivre ensemble en paix, sans violence envers les femmes de la part des hommes ou de la société .
On comprend très vite qu’un coup de feu a été tiré, qu’un homme est mort et que Claude est accusée du meurtre, et se trouve dans un commissariat entre les mains de policiers.
Ce roman est une succession de courts chapitres, factuels pour certains, et documentés pour d’autres, entrecoupés des opinions très tranchées de l’autrice sur la parti prise par la société telle qu’elle s’articule depuis des siècles, brutalisant toutes les minorités que Sophie Pointurier pointe du doigt .
Livre un peu déroutant par sa forme, très perturbant par son sujet et la réalité de celui ci et éclairant sur les chemins à prendre pour sortir de ce qui semble une impasse pour le moment.
Certains passages m’ont percutée, d’autres m’ont laissée sur le bord de la route, l’ensemble demeure un bon roman, pas le meilleur à mon goût depuis le début de l’année
L’histoire commence avec un meurtre…..
Claude la narratrice, nous raconte comment ce drame est arrivé…..
D’abord une petite annonce « TARN - Hameau à vendre avec 4 maisons, 2 granges, 2,5 hectares de prés. Pas de voisins proches. €320k FAI…. ».
Alors qu’elle pense à changer de vie avec son fils Lenny, Claude rêve de ce hameau sans trop y croire, limitée par ses moyens financiers de mère célibataire. Elle va alors rencontrer 3 femmes, d’âges et d’histoires différentes, rendant le rêve réalité.
Elles partent s’installer dans ce hameau, élever des moutons, cultiver la terre…. Un lieu qu’elles veulent exclusivement féminin, une terre d’accueil pour toutes les femmes, qu’elles soient en difficultés ou non.
Le projet suscite l’intérêt de nombreuses femmes dont des femmes à bout subissant des violences conjugales…..
Mais leur projet dérange, elles reçoivent des menaces…..
Un livre passionnant, autant par le sujet, l’intrigue et la narration….. il alterne parfaitement l’interrogation de Claude par la police et ses confidences qu’elle livre au lecteur sur l’histoire du hameau et la chronologie des faits…..
Il est riche culturellement et les thèmes de la solidarité, du féminisme et de la société sont riches et parfaitement abordés…..
J’ai adoré !
Second roman engagé de Sophie Pointurier, celui ci porte un regard sur la société quand les femmes se défendent des violences que les hommes leur font.
« Lorsqu’un homme a agressé une femme, on l’accuse rarement de complot sexiste. On dit que, à bien y regarder, il était alcoolisé, jaloux et, si par malheur elle est morte, alors c’est un drame conjugal. Mais quand une femme a tué un homme, elle enfreint dans le même temps la loi du genre et, à ce moment-là, ça devient un crime de masse. » p.123
Le roman commence par la fin et nous emporte dans le projet un peu utopique de Claude de faire d’un hameau du Tarn, un lieu de refuge, d’expression, de bienveillance pour se protéger du patriarcat, de la violence des hommes et de la violence en général.
« Un lieu inconditionnel, du silence, du temps et le toit dans un endroit sur. « Une chambre à soi, un lieu a elles! Pas mal comme idée, non? » p.100
Ce hameau sera à l’exemple des Béguines où des terres des amazones de l’Oregon ou encore de Paradis Island-Wonder Woman. Il prend forme autour de Claude (la narratrice), Elie, Hariet, Beatriz et Anna, autant de passés et de vies différentes pour se projet qui va se concrétiser.
Elles ont appris à se méfier de tout mais peut-être que de se retrouver ensemble leur a fait baissser la garde et elles ne sont pas assez méfier de leur voisin le plus proche : Michel.
Le passage du présent au passé donne une bonne temporalité au texte.
Ce second roman de Sophie Pointurier, extrêmement bien écrit, commence par une scène violente où seul un prénom est prononcé. Ensuite c’est l’arrestation musclée de Claude, une quadragénaire . Les chapitres vont alors alterner les flash-back que nous livre Claude sur l’origine du projet qui a mené au drame et son interrogatoire au poste de gendarmerie, face à un homme qui transpire le dégout pour cette femme qu’il juge hystérique, terroriste et radicalisée alors qu’elle a simplement voulu vivre, avec quelques autres, à l’écart de la société des hommes.
Il faut savoir que Claude est issue d’une famille de femmes, elle a été élevée par sa mère et sa grand-mère. Son système de référence s’effondre, à sept ans, quand elle est invitée à dormir chez une camarade de classe, qu’elle dit qu’elle n’a pas de père et lit dans le regard de son amie une pitié incompréhensible pour elle . Elle ouvre alors les yeux sur la place qu’occupent les garçons dans son école et sur le rôle dominant des hommes dans la société.
A quarante-six ans elle ne sait plus quoi faire de sa vie qu’elle partage avec son fils Lenny dans un minuscule appartement depuis son divorce . Alors qu’elle est au fond du gouffre, c’est la lecture qui la sauve, et notamment un livre qui parle du « béguinage » au travers des siècles. Aussi, quand elle tombe par hasard sur l’ annonce de la mise en vente d’un hameau de cinq maisons, deux granges et 2,5 hectares de prés sans voisins proches dans le Tarn, cela fait écho au mouvement béguinal qu’elle vient de découvrir et un projet insensé se met à murir. C’est sa rencontre fortuite avec Elie qui va précipiter son projet ainsi que la venue d’Harriet et d’Anna qui ont répondu toutes deux à leur petite annonce. Elles vont chacune apporter une part du capital nécessaire à l’achat du hameau et y vivre retirées du monde des hommes. Seul bémol évoqué par Elie, mais qui n’a malheureusement pas inquiété Claude, était qu’une autre ferme utilise la route qui traverse le hameau en son milieu, et ce tous les jours, constituant un lien vers le monde extérieur, plus qu’une nuisance. Elle aurait dû écouter Elie.
Dans « La femme périphérique »,son premier roman, Sophie Pointurier abordait déjà la place des femmes, mais cette fois dans le monde misogyne et conservatiste de l’art.
Avec ce deuxième roman, elle reprend là encore le thème de la place faite aux femmes dans notre société. Nous retrouvons des femmes fortes qui veulent fuir la loi des hommes et vivre seules, tranquilles, isolées dans un espace créé par elles et pour elles. Mais la violence des hommes finit toujours par les rattraper et leur rappeler qu’elles ne sont pas à leur place, tout du moins pas à celle qu’ils leur ont attribuée.
Bien qu’inspiré de faits réels, malheureusement trop nombreux sur les violences faites aux femmes et le peu de place qu’on leur octroie dans la société, les situations et les personnages sont fictifs, mais, ajoute l’auteure, toute ressemblance avec des lieux, des évènements, des personnes vivantes ou mortes n’est ni fortuite, ni involontaire.
La rentrée littéraire va être riche de nombreuses pépites dont ce récit que toute femme devrait prendre le temps de découvrir.
Une tradition huit fois centenaire s’est éteinte dans les dernières décennies : celle du béguinage, née au XIIe siècle sous l’impulsion de femmes désireuses de vivre, ni épouses, ni moniales, affranchies de toute domination masculine. Persécutées parfois tant leur prétention à l’indépendance suscita d’inquiétude et de réprobation au cours des siècles, les béguines ont subsisté jusqu’à l’époque moderne, où l’on vit encore des femmes de tous âges et conditions se rassembler en communautés pour y vivre de leur entraide. Il n’en existe plus aujourd’hui, mais elles ont inspiré à Sophie Pointurier une histoire contemporaine, où, plus que jamais, la liberté des femmes se conquiert de haute lutte.
Elles étaient quatre, chacune avec leurs raisons de souhaiter changer de vie, à l’écart des hommes et de leur force coercitive. Une petite annonce proposant à la vente un hameau à retaper au fin fond du Tarn leur avait offert l’opportunité de leurs rêves. Alors, s’inspirant d’autres exemples avant elles, elles avaient entrepris d’y créer une communauté de femmes, ouvertes à toutes celles qui éprouvent le besoin de retrouver une forme de liberté, de se réinventer en s’appuyant sur leur sororité, loin du cadre encore très masculin de la société ordinaire. Mais on ne tourne pas si aisément le dos au monde, ou plutôt le monde ne vous laisse pas si facilement le tenir à l’écart. Cela commence par des clôtures pour préserver vos moutons de gestes malveillants et cela s’achève le fusil entre les mains, puis les menottes aux poignets au commissariat du coin. La narratrice doit répondre du meurtre d’un homme. A son récit de l’emballement des événements se mêlent ses réminiscences de tout ce qui, depuis la naissance de leur projet, les a menées au drame.
Epouses battues tentant de s’extraire de la violence, lesbiennes souhaitant vivre en paix, révoltées libertaires ou femmes simplement lasses de se heurter constamment à des parois pas uniquement de verre : que l’on s’identifie ou pas aux aspirations des personnages, que l’on approuve ou pas leur manière de s’y prendre, et surtout peut-être parce que, justement, l’on aura sans doute un peu de mal à ne pas voir certaines comme des originales quand même loufoques sur les bords, il apparaît bien vite évident que l’utopie de ces femmes ne parviendra pas plus à les préserver que leur vie en société. Le drame étant annoncé dès les premières lignes, tout le suspense du récit provient du désarroi de la narratrice, qui, dans la confusion ambiante, tente de reconstituer et de s’expliquer ce qui vient de se passer, l’inscrivant dans la continuité d’un enchaînement de circonstances que l’on découvre peu à peu.
La marginalité dérange, et comme la jungle ne renonce jamais à reprendre ses droits sur une zone défrichée, la société encore patriarcale a beau jeu de vouloir effacer cette « lubie » de femmes, que, les préjugés aidant, elle a vite fait de considérer comme forcément subversive. Preuve en est qu’elles avaient des fusils, qu’elles savaient s’en servir et qu’elles ont tué un homme, même si les deux premiers points sembleraient tout à fait naturels chez des ruraux et chasseurs masculins, et même si, peut-être, il y a eu en partie légitime défense, en tout cas, décision de se faire justice soi-même parce que, sur ce plan, plus rien n’était à attendre du côté des hommes. Loin d’idéalisations, les personnages féminins de Sophie Couturier apparaissent dans toutes leurs ambivalences, avec leurs limites et leurs faiblesses, à la fois fortes dans leur détermination, naïves et maladroites dans certaines de leurs actions, mais tellement désespérées et poussées à bout que prêtes à tout – sur ce point, l’auteur n’hésite pas à forcer le trait pour mieux troubler le lecteur.
Voici un livre fortement dérangeant, où, parce qu’il leur est autant impossible de trouver leur place au sein qu’aux marges de la société, des femmes se retrouvent en totale rupture avec la loi et la moralité, acculées à des gestes non dénués d’une certaine barbarie. Très sombre constat – désespéré ou provocateur ? – que celui de la nécessité d’une rébellion violente pour faire valoir le droit des femmes.
Rentrée littéraire 2023.
Femme portant un fusil de Sophie Pointurier raconte l’histoire de Claude, une femme de quarante-quatre ans qui traverse depuis quelque temps une période de crise. Elle est en train de sombrer dans une routine pénible, un engourdissement brutal de ses facultés, se laisse aller à vivoter avec son fils Lenny, 16 ans, et à continuer à donner des cours à des apprenties assistantes sociales sans plus aucune conviction.
Par hasard, elle tombe sur une annonce d’un hameau à vendre dans le Tarn, loin de tout. Ce petit amas de maisons vient faire écho au mouvement béguinal qu’elle avait découvert quelque temps auparavant dans un roman d’Aline Kiner, La nuit des béguines. Elle avait été attirée par ce statut que ces femmes avaient créé par et pour elles-mêmes et qui leur avait permis de contourner l’obéissance pendant des siècles.
Depuis qu’elle a posé ses yeux sur cette annonce, elle s’accroche à cet endroit comme à une bouée et voilà qu’à la boulangerie, elle tombe par hasard sur Élie, cette documentaliste à la retraite. Elles sont témoins d’un drame lié à la vieillesse et à la solitude. Elles se revoient et Élie lui révèle qu’elle a vécu un temps dans une communauté de l’Oregon, l'Oregon Women's Land Trust, les photos qu’elles lui présentent font rêver Claude.
Un projet naît alors avec Harriet et Anna rencontrées ensuite, le rêve d’un lieu construit par et pour les femmes. Si au départ, elles étaient quatre à acquérir le hameau et porter le projet d’autres les rejoindront, des jeunes, des moins jeunes, des plus âgées, et, puisant dans les expériences d’autres avant, elles vont donner une nouvelle dimension à leur existence.
Mais voilà, un homme est mort et Claude est face à deux gendarmes et doit répondre du meurtre de celui-ci. Ils lui demandent de raconter tout depuis le début...
Femme portant un fusil est une formidable ode à l’amitié et à la liberté. Sophie Pointurier, en alternant, chapitres courts dans lesquels Claude est entre les mains des gendarmes, puis à l’hôpital sous contrôle policier avec le récit de la fantastique quête de ces femmes pour se réinventer, croyant jusqu’au bout en leur utopie et n’hésitant pas sur leurs décisions lorsqu’une des leurs est en danger.
Sophie Pointurier montre dans ce roman contemporain, que le mépris et l’hostilité à l’égard des femmes est toujours d’actualité. Elle fait d’ailleurs dire à son héroïne « c’est un miracle que cette deuxième moitié du monde ne se soit toujours pas réveillée en rage, consciente de sa blessure collective ». Celle-ci pense également que la justice n’a jamais été de leur côté, ou alors rarement, par accident.
Dans Femme portant un fusil, l’autrice, en mettant en scène deux femmes victimes de violences conjugales, ce fléau indigne de l’humanité, montre combien il est difficile pour elles de s’échapper de leur enfer et si certaines en viennent à être violentes pour mettre fin à ces sévices que l’on pourrait croire d’un autre temps, elles sont jugées comme de vulgaires assassins.
On ne peut que penser comme Claude, qui, lorsque le gendarme lui demande la provenance des armes, aurait aimé lui dire, mais n’a pas trouvé le courage : « Et vous, quelle guerre légitimez-vous ? Quelle violence, trouvez-vous juste ? »
Très beau roman sur la vie inspirante de ces femmes qui ont tenté l’utopie, sur le questionnement de la condition féminine, sur la violence faite aux femmes, sur la violence dont elles sont elles-mêmes capables, sur la misogynie, mais aussi sur le rôle des réseaux sociaux, sur l’éducation des enfants et l’homophobie… sans oublier une bonne dose de suspens. De nombreux thèmes sont ainsi évoqués dans ce roman inspiré de faits réels, qui m’a emmenée de l’arrière-pays toulousain jusqu’aux terres des amazones de l’Oregon dans un tourbillon d’idées de liberté et de quête de bonheur simple, un récit qui est une véritable ode à l’amitié et à la liberté, comme je l’avais dit en préambule.
Je remercie les éditions Harper Collins et Babelio pour cette belle découverte.
Chronique illustrée à retrouver ici : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/2023/06/sophie-pointurier-femme-portant-un-fusil.html
C’est l’histoire d’une sororité née de la volonté d’avoir un hameau réservé aux femmes fortes ou devant être protégées. Sujet au combien intéressant.
D’autant plus, que dès le départ on sait que cela va mener à une situation de violence. Petit à petit, l’autrice nous met sous pression.
Toutefois,j’aurai ajouté encore plus de pression.
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