80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Nous sommes dans le Bosphore, au déclin d'une belle et lumineuse journée d'automne.L'admirable détroit, tout bordé de jardins luxuriants, de petites et mystérieuses demeures qui disparaissent en partie dans la verdure, de villages irréguliers s'allongeant tout au bord, de charmantes constructions turques impénétrables derrière des murs aveugles ou percés de fenêtres et de balcons grillagés, de collines fluxueuses sur le sommet desquelles se distinguent, de loin en loin, les ruines de quelque vieux château, de kiosques légers comme des joujoux, de palais d'albâtre qui scintillent comme de féeriques tableaux, de coupoles blanches, de mosquées solitaires, de forêts de cyprès, d'élégantes villas, de hauts minarets, se présente alors dans toute la magnifique splendeur de ses teintes, au milieu de la lumière diffuse du soleil qui disparaît au loin dans un vaste éventail de pourpre.
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