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A travers l'histoire d'un domaine, Belchamber, et de la famille qui l'occupe, ce roman fait le procès de toute une société : celle de l'Angleterre victorienne, à la fois si lointaine et si proche de la nôtre. On y croise les paroxysmes et les cris de la passion maternelle, la rage des dépits amoureux, mais aussi l'hypocrisie cynique ou feutrée, qui leur succède : convenances, conventions, snobisme, rien n'est épargné. Tant il est vrai que personne ne peut vivre longtemps sur les sommets des grandes crises et que, si le monde est un théâtre, la moitié des acteurs ont été désignés pour des rôles qui ne leur conviennent pas.
Né à Londres en 1855, mort à Windsor e 1950, l'auteur de cette nouvelle Foire aux Vanités fut le contemporain et l'ami d'Henry James et d'Edith Wharton. Descendant d'une famille de banquiers richissimes, il put mener une existence de dilettante raffiné et subtil, tout en portant sur le monde un regard acéré.
Voici un Barnabooth romancer touché par la grâce et effleuré parle génie. Et Belchamber qui fut son testament, et aussi un chef-d'oeuvre. Jean-Claude Zylberstein.
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