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D’un monde du silence, des silences, Georgina Harding peint un parcours aux couleurs de l’émotion, des touches reposantes avec la description poétique des paysages et des sentiments, des portraits attachants des protagonistes, une vision énigmatique de l’intrigue, des reflets réalistes et des marqueurs durs pour cette Roumanie broyée à partir des années 40.
Derrière ce tableau littéraire, on découvre l’histoire d’Augustin, cet handicapé qui devra affronter le bruit des autres, les cris assourdissants qu’il devine, les incompréhensions. Il est intelligent, beaucoup même, mais face à son mutisme peu en sont conscients. Heureusement, Safta, l’infirmière est là. Elle aussi son destin s’est brisé du fait de la guerre. Cette guerre qui détruit les âmes, blessent les corps et les cœurs, anéantit des familles, enlèvent des vies, gomment les histoires, effacent le patrimoine... Absurdité de la violence, des conflits...
Tinu (Augustin) se rappelle de tout. Les mots sont absents mais la mémoire reste vive. Et un crayon peut raconter, énormément raconter, narrer, tracer, faire renaître les souvenirs, exprimer les blessures. Un crayon, avec quelques couleurs et une dose innée d’observation...
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