Doit-on ce titre, 7500 €, Pastiches politico-littéraires (ed. Wombat) au métier d’économiste de son auteur ?
David Spector répond à cette question un peu perfide dans le riche entretien qu’il nous a accordé. L’occasion de parler avec gourmandise de la littérature et de quelques auteurs qu’on aimera redécouvrir. Il faut bien aimer la littérature pour se lancer dans le pastiche. A moins d’en être terriblement amoureux, l’exercice devient plaqué, grinçant et ne sait divertir au-delà du déjeuner des familiers les dimanches d’ennui.
A ce compte, David Spector est un grand amoureux de la langue et des lettres, pour être ainsi capable de nous étonner, éblouir et faire éclater de rire à travers ses reprises de Houellebecq, Modiano, Proust, Carrère, Feydeau et… Bruno Le Maire -également héros du dernier Houellebecq, Anéantir (Flammarion). Entrez dans cet entretien comme on entre dans des coulisses, découvrez l’âme et les secrets du pastiche. Sans doute en apprendrez-vous davantage sur la littérature et sa façon de l’aimer que dans tout autre essai sur le sujet.
KP
- David Spector, vous publiez 7500 €, Pastiches politico-littéraires (Wombat). Le titre ne doit rien à votre métier d’économiste mais il intrigue : de quoi parlez-vous dans ce livre ?
Il s’agit d’un livre à contrainte : chaque texte, écrit dans le style d’un écrivain différent, traite, à titre parfois principal, parfois accessoire, des levées de fonds à l’occasion d’une campagne présidentielle – et plus spécifiquement, celles d’Emmanuel Macron en 2017, à une exception près, le pastiche de Bruno Le Maire qui se projette en 2022 et en 2027. Après avoir envisagé comme titre Levée de fonds, nous sommes tombés d’accord avec mon éditeur, Frédéric Brument, sur Sept mille cinq cents euros : c’est le plafond légal pour les donations individuelles à un parti politique, et aussi bien sûr un clin d’œil à 99 Francs de Frédéric Beigbeder (lequel, en dehors du titre, ne fait pas partie des auteurs pastichés). Les mots « sept mille cinq cents euros » apparaissent dans chaque texte, comme un clin d’œil pour rappeler la contrainte.
- Vous ne vous êtes pas facilité les choses : vous avez exporté l’univers de douze écrivains d’époques différentes autour d’un même thème contemporain : les frémissements d’une campagne électorale. Qui ressemble souvent à celle de 2017, sans doute pour faire écho à celle que nous traversons. Pourquoi ce choix ?
Je pourrais commencer par une réponse négative : pourquoi pas ? Si Raymond Queneau a pu écrire 99 textes sur une courte altercation entre deux inconnus dans un bus, on doit bien pouvoir, avec un peu d’imagination, écrire douze variations sur une campagne présidentielle.
Mais cette réponse serait incomplète et pas tout à fait honnête, car une campagne présidentielle offre à l’écriture de nombreux points d’accroche. En premier lieu, la politique est avant tout affaire de mots. Une campagne – en particulier celle de 2017 – fait apparaître des slogans, presque des néologismes, à partir desquels on peut broder : le « en même temps » sur lequel j’ai construit le pastiche de Proust, le vocabulaire de la « start-up nation » et de la disruption, dont le côté artificiel, un peu « langue de bois », permet de souligner les clichés du temps, à la Flaubert, ou d’aller du côté de l’absurdité dans des quiproquos à la Feydeau. Ensuite, la politique est un condensé de comédie humaine : on y trouve des caractères saillants, des retournements de situation, des types comme l’homme politique narcissique, l’opportuniste flagorneur, le personnage usé par la vie qui espère trouver un cinquième souffle en rejoignant un mouvement en pleine ascension ou des assemblages hétéroclites d’aventuriers un peu louches, à la Modiano…
- La parodie, la satire, la caricature, le plagiat : où se situe le pastiche ?
Selon l’acception habituelle, la parodie a une dimension ludique et moqueuse plus prononcée, elle s’autorise à forcer le trait alors que le pastiche vise à la reproduction fidèle du modèle.
Mais en pratique, la plupart des pastiches littéraires publiés comprennent une part de parodie, sans laquelle ils ne seraient pas drôles. Le pastiche de Flaubert par Proust ressemble beaucoup à l’original, mais son Balzac est plus parodique, puisqu’il exagère certains aspects de son écriture qui peuvent prêter à sourire - par exemple, dans un passage où le faux Balzac explique que la sonorité des pas d’un personnage suffit à révéler son caractère, ou dans sa manière de faire suivre le nom de chaque savant cité par ses dates de naissance et de mort entre parenthèses, à la manière d’un dictionnaire, ce que le vrai Balzac n’avait jamais fait, même dans ses passages les plus lourdement didactiques.
Dans mon recueil, la dimension parodique est présente, mais à des degrés variables. Par exemple, il me paraît impossible, presque sacrilège, de moquer l’écriture d’auteurs aussi parfaits que Proust ou Nabokov. Pour eux, les éléments humoristiques de mon imitation ne tiennent pas à une quelconque exagération, mais à une simple transposition de leur ironie et de leur humour à des thèmes contemporains. Dans le cas de Modiano, le pastiche même sans exagération est par lui-même parodique : on trouve dans ses romans la permanence lancinante des mêmes thèmes, de la même atmosphère « modianesque », dont l’imitation peut produire une sorte de comique de répétition. D’autres textes relèvent davantage de la farce, ou de la parodie farcesque si vous préférez, sans prétention de fidélité au modèle sinon dans les grandes lignes : c’est le cas par exemple de mon imitation volontairement grossière d’Édouard Louis, en forme d’inversion du dispositif de son premier livre. Pour Carrère, je me suis aussi situé entre pastiche et parodie, puisque j’ai essayé d’imiter son écriture mais en accentuant son côté autocentré dans une sorte de mise en abyme.
- Proust justifiait ainsi la nécessité du pastiche qu’il a pratiqué dès son premier ouvrage, Les plaisirs et les jours (1895) : " Pour ce qui concerne l'intoxication flaubertienne, je ne saurais trop recommander aux écrivains la vertu purgative, exorcisante du pastiche […] Il faut […] faire un pastiche volontaire pour pouvoir après cela redevenir original, ne pas faire toute sa vie du pastiche involontaire. "
Qu’en pensez-vous ?
Si Proust l’a écrit, c’est forcément vrai ! Cette phrase me rappelle qu’un éditeur a refusé mon manuscrit en m’expliquant que ce n’était pas une bonne idée de proposer un recueil de pastiches en guise de premier texte littéraire. Mais si j’en crois Proust, il n’est pas mauvais de commencer par le genre du pastiche. Vous me direz peut-être qu’il conseille d’en écrire, mais pas forcément de les publier. Mais sur ce dernier point, c’est aux critiques et aux lecteurs d’en juger.
- Pasticher, pour vous, c’est admirer, brocarder ou s’inspirer ?
C’est tout cela à la fois. J’apprécie tous les auteurs pastichés dans mon livre, à une exception près, facile à identifier. On peut, tout en appréciant ces auteurs, moquer gentiment le nombrilisme assumé d’Emmanuel Carrère, chez Modiano les marques de fabrique comme les souvenirs flous, les personnages ambigus aux identités hybrides, et l’ombre jamais éloignée des années de l’Occupation, ou encore l’éternel retour de la fellation chez Houellebecq, aussi prévisible que les rédactions scolaires de septembre sur le thème « racontez vos vacances d’été »...
- Le pastiche n’est-il pas un exercice dont la deuxième étape conduit justement à créer à partir de son propre univers ? Dans une perspective proustienne, donc, doit-on attendre bientôt de vous un roman ?
Je ne suis pas tout à fait d’accord avec la prémisse de votre question car je crois à la fécondité de la contrainte, en littérature comme ailleurs : l’exercice du pastiche, à mon avis, permet déjà de créer, d’exprimer son propre univers et même des traits stylistiques personnels. Il y a mille manières de pasticher (ou de parodier, ou d’imiter) un auteur.
Pour répondre plus directement à votre question sur un roman éventuel : je n’en sais rien encore, mais j’y réfléchis.
- Le théâtre, la musique ont largement recouru au pastiche. Quelle est la fonction du pastiche en littérature ?
Je n’ai ni la légitimité, ni le courage de proposer une réponse générale à une question aussi vaste, et je vous dirai seulement ce qui me passe par la tête à l’instant, à savoir que parmi les pages de Modiano que je préfère, il y a le pastiche hilarant des pamphlets antisémites de Céline dans les premières pages de La Place de l’étoile.
- Parlons de la composition du recueil : on commence avec Houellebecq et l’on termine avec… Bruno Le Maire. Doit-on y voir une progression au cours de laquelle interviennent Edouard Louis, Feydeau, Emmanuel Carrère, Dostoïevski et Marc Lévy ? En somme comment avez-vous choisi et ordonné vos auteurs ?
Bruno Le Maire est placé à la fin du recueil parce que son texte nous projette en 2022 et 2027 alors que tous les autres ont trait à la campagne de 2017. Il me paraissait logique de commencer par Houellebecq parce qu’il est l’écrivain français vivant le plus célèbre. Pour le reste, la composition du recueil vise à une forme d’alternance pour rendre la lecture aussi agréable que possible : alternance entre des auteurs contemporains et d’autres plus anciens, et entre des textes courts (comme le faux Édouard Louis) et d’autres plus longs (Carrère).
- Votre pastiche de Perec, intitulé « La Disruption » est-il l’exercice qui vous a demandé le plus de virtuosité ? Une façon de vous demander quel auteur vous a été le plus difficile à pasticher, et de quelles qualités un écrivain doit être riche pour faire l’objet d’un bon pastiche.
Je croyais comme vous qu’écrire un lipogramme sans la lettre « e » était très difficile, mais en réalité c’est une affaire d’entraînement et au bout d’un moment cela vient presque tout seul.
Le seul auteur qui m’a donné du fil à retordre est Emmanuel Carrère. Il a dit un jour que ses livres, depuis qu’il n’écrit plus de fiction, sont des sortes de conversations avec le lecteur, et c’est bien ainsi que je les perçois. Son style a de ce fait une certaine oralité et je suppose que ma sensibilité est trop éloignée de la sienne pour que je puisse facilement prendre sa voix, que je crois d’ailleurs n’avoir pas réussi à imiter parfaitement. Cette difficulté m’a étonné parce que je trouve ses livres intéressants et que je ne ressens pas cette distance quand je le lis.
À l’inverse, les procédés de Houellebecq sont assez faciles à identifier et à imiter : il y a sa manière lapidaire, lucide et crue de présenter les idées, les émotions ou les motivations des personnages, de relever avec un humour pince-sans-rire certains détails absurdes ou désespérants du monde contemporain. On peut aussi repérer une utilisation spécifique du discours indirect, une certaine manière d’évoquer sans fioritures le quotidien banal en citant des noms de marques ou en mentionnant le prix des choses. Au-delà de tout ça, ce qui rend Houellebecq facile à imiter, c’est le fait qu’au centre de ses livres, on trouve le portrait d’un type : l’homme occidental hétérosexuel d’âge moyen appartenant aux classes moyennes supérieures. Or je me trouve appartenir à ce vaste sous-ensemble de l’humanité dont Houellebecq expose le désespoir intérieur et la part de veulerie. Pour produire du quasi Houellebecq, il m’a donc suffi de fouiller dans les recoins les moins ragoûtants et les plus mesquins de mes pensées.
Finalement, pour qu’un auteur soit « pastichable », l’existence d’un style individuel, immédiatement reconnaissable – aussi bien par ses procédés d’écriture que par sa tournure d’esprit et ses thèmes de prédilection - est évidemment une condition nécessaire. Mais ce n’est pas une condition suffisante : Carrère a un style propre, je crois pouvoir reconnaître une page de lui sans me tromper, mais il reste difficile à imiter, au moins pour moi.
- Comment savez-vous que vous « tenez » un pastiche ? Est-ce affaire de champ lexical, de musicalité, de thèmes ?
D’une manière générale chaque pastiche repose sur une idée qu’il a suffi ensuite de développer : l’écriture demandait un travail d’imagination et beaucoup d’attention aux détails, mais elle se déroulait sans grande difficulté une fois l’idée de départ identifiée.
Dans le pastiche de Proust, cette idée consistait à transformer en un éloge du candidat Macron l’éloge ampoulé du roi Théodose par M. de Norpois, l’ambassadeur invité à dîner chez les parents du narrateur. Il ne restait plus qu’à dérouler le fil et notamment à transposer l’un des morceaux de bravoure de la scène originale. Le développement parodique et profondément comique de l’ambassadeur pédant sur les immenses implications diplomatiques de l’usage du mot « affinités » dans le discours du roi en visite à Paris est ainsi devenu un éloge dithyrambique du fameux « en même temps ». Ensuite, pour épicer le tout, j’ai ajouté « et dreyfusard et antidreyfusard » à l’expression macronienne « et de gauche et de droite », à la fois pour établir un pont entre les deux époques (au prix d’une incongruité chronologique) et pour ajouter une touche d’absurdité à la platitude du « en même temps ».
Dans le pastiche de Feydeau, l’idée directrice, à partir de laquelle tout pouvait être déroulé facilement, était d’introduire la novlangue du capitalisme « disruptif » dans une situation de théâtre de boulevard. La « lutte contre la rente et les conservatismes » fournit ainsi aux deux personnages masculins des prétextes de plus en plus invraisemblables pour justifier auprès de l’épouse soupçonneuse tous les éléments qui risqueraient de trahir l’existence de la maîtresse. Une idée secondaire consistait à jouer sur le mot anglais « cleavage » qui est un faux ami du mot français « clivage ». Le sens érotique du mot anglais se prête bien à Feydeau, alors que son faux ami français peut avoir un sens politique : ce rapprochement permettait de relier l’univers de l’auteur pastiché au thème de l’élection de 2017.
Pour Houellebecq, je suis parti d’une idée plus générale : un personnage typiquement houellebecquien (un sexagénaire frustré, lucide, cynique et à moitié impuissant) espère donner un nouvel élan à sa vie morne en rejoignant La République en Marche.
- Pierre Jourde, dans la préface, dit rêver être pastiché par vous, parlant en cela d’une forme de reconnaissance. L’idée vous tente-t-elle et sur quel thème éprouveriez-vous sa langue ?
C’est peu probable, à la fois parce que je ne compte pas m’enfermer dans le genre du pastiche et parce que Pierre Jourde me paraît difficile à imiter. Son œuvre est si variée qu’elle le rend un peu insaisissable : il a écrit aussi bien des romans que des essais critiques et des pamphlets. Même si on se limite aux romans, ils sont très différents les uns des autres. Il joue avec virtuosité de différents registres, se rapproche parfois du nouveau roman (au début de son magnifique Festins secrets qui évoque La Modification de Michel Butor) mais a aussi des pages qui relèvent du fantastique et d’autres où on trouve une volubilité rabelaisienne (dans Le Maréchal absolu). S’il fallait identifier un élément commun à ses romans, je relèverais une manière spécifique de décrire l’espace, avec une sensibilité de géographe qu’on devine obsédé par la cartographie : c’est particulièrement net dans son Pays perdu, mais on trouve cela dans d’autres livres. Je trouve très belles les pages où apparaît ce regard de géographe mais je serais incapable de les imiter.
- Quel effet, selon vous, produit le pastiche d’un écrivain par un autre, sur le lecteur ?
Si c’est bien fait, le premier effet est de faire rire le lecteur. Ça peut paraître peu, mais c’est déjà beaucoup.
En outre, dans certains cas, un pastiche distille la véritable essence d’un auteur au point d’enrichir, ou au moins de modifier chez son lecteur l’appréhension de l’auteur imité. J’aime beaucoup Chateaubriand, mais quand je le lis je ne peux pas m’empêcher de penser à un passage de Troulala, le pastiche d’Atala écrit par Reboux et Muller il y a près d’un siècle : « Je lui parlai de moi, de Buonaparte, et encore de moi. » Serai-je le Reboux et Muller de Bruno Le Maire ?
- Votre titre précise « pastiches politico-littéraires ». Au-delà du pastiche, c’est un regard sur l’époque et sa comédie humaine que vous portez. Comment l’économiste que vous êtes et qui écrivait en 2017 La Gauche, la droite et le marché (Odile Jacob), regarde le moment politique actuel dans lequel une campagne électorale essaie de se frayer un chemin ?
J’ai bien sûr des opinions politiques personnelles, mais je ne souhaite pas les aborder à propos de ce livre dont le propos est littéraire et non politique, et encore moins économique même s’il comprend une part de satire sociale et s’il y est question d’argent ici ou là. Et autant avouer, à la Houellebecq, la pensée mesquine qui sous-tend ma réponse : je ne veux braquer personne ! Que les partisans de Mélenchon, de Macron, de Pécresse et des autres achètent gaiment mon livre sans se demander s’il est conforme à leurs idées politiques.
Plus sérieusement, les lecteurs qui croiraient pouvoir deviner mes opinions politiques à partir de ces pastiches se tromperaient. Certes, mes textes se moquent du narcissisme, de l’opportunisme et de la courtisanerie enamourée qui a accompagné la campagne du candidat Macron. Mais on pourrait trouver cela autour de n’importe quel homme ou femme politique, partout et en tous temps, c’est la comédie humaine universelle.
Propos recueillis par Karine Papillaud
On aime, on vous fait gagner 7500 euros : pastiches politico-littéraires, de David Spector
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BERNARD DOMINIQUE ; Domi Mots ; Azolas ; Olivier BIHL ; Catherine Giry-Deloison
Très intéressant à découvrir art du pastiche pourquoi pas bonne idee
bonjour je tente ma chance
Bonjour,
Je participe avec plaisir à ce jeu concours. A la découverte du pastiche.
Merci
Bonjour l'interview me donne envie de découvrir ces pastiches pour leur originalité et l'actualité du sujet. Cette lecture me sortira de ma zone de confort et cela est extrêmement motivant. Merci pour ce concours
Morgane
bonjour je n'y connais rien sur le sujet du pastiche voila qui m’interpelle....je pense que je ne vais pas m'ennuyer belle découverte merci
Je participe volontiers car je ne connais pas bien l'art du pastiche, je serais ravie de le découvrir!
Je tente ma chance bien curieuse de découvrir l'art du pastiche de l'auteur .
Et puis c 'est aussi le nombre de personnes pastichées aux personnalités et style bien différents qui me séduit ,
Merci pour vos concours , l'occasion de découvrir des écrits variés .
Je suis très curieuse de découvrir ce livre ! Je ne crois pas avoir déjà lu de pastiches ; c'est l'occasion !
Waouh ! C'est un sacré challenge, le pastiche... Un exercice compliqué, exigeant, qui peut vite déraper en "écrits à la mode de" fastidieux, insipides et inutiles.
A voir, car si c'est réussi, c'est réellement une autre façon de voir l'envers du décor que nous propose l'auteur.
Je suis donc curieuse et... intéressée à découvrir cet ouvrage.
Bonjour,
Je participe avec plaisir à ce jeu concours.
Merci
La politique, sujet d'actualité. Un tel livre multi voix sur un seul thème doit nous faire découvrir l'envers du décor dont le grand public ne prête pas attention et qui pourtant est essentiel. Je tente ma chance, merci
Bonsoir
A travers l'interview de David Spector, on anticipe dans cet ouvrage de la moquerie sur nos idées et hommes politiques actuels. Cela devrait me permettre de regarder différemment l'actualité et d'en rire je l'espère .
J'ai très envie de lire ce livre dont rien que le titre est original et étonnant.
Bravo.
- Patron, un pastis!
- Tu me rends le coeur, on parle de pastiche là , pas de pastis!
- Pardon Mr Pagnol ...
Je participe pour lire Mr Spector. Merci, Casimir
David Spector parait être un auteur très imaginatif et j'aimerais le découvrir un peu plus.
Bonjour
Merci pour ce concours
Ce qui m'intéresse, c'est le pastiche et l'univers de la parodie
Les gens ont besoin de rire
Bonne chance à tous
Superbe idée, je tente ma cahcne
Bonjour.
S'il vous plait, je souhaite participer.
Merci.
envie de découvrir l'art du pastiche
Bonjour, je serais curieuse quel débat peut naître de l’utilisation de textes d’auteurs connus transformés , déplacés dans un roman politique et mis dans la bouche de personnages actuels . Cela en rend-t’il la politique plus croustillante , plus passionnante… ??? En tout cas j’avoue que je suis tentée
Belles lectures. Prenez soin de vous
Bonjour
Interview détonnante qui donne envie de retrouver mes auteurs favoris métamorphosés et inédits.
L'interview de David Spector par Karine Papillaud est réellement jubilatoire.
Je suis convaincue que ce livre me fera rire, me donnera un regard peut-être quelque peu différent sur les écrivains que l'auteur pastiche.
J'ai une envie folle de gagner ce livre drôle, caustique et certainement très instructif, qui annonce déjà tout un projet chez moi, celui de lire tous les auteurs cités que je regrouperais dans une nouvelle pile à lire !... (encore un nouveau projet ! )
Doit-on rire ou pleurer des absurdités de nos femmes et hommes politiques ? je pense que l'auteur a du se défouler au maximum pour faire RIRE les lecteurs ......
On doit rire de soi pour pouvoir rire des autres ! Au niveau de l'autodérision je crois que je me défends alors je pense que ce livre va me régaler !! Je participe !
Bonjour comme kryvan, cest l article qui me donne enormement envie de lire ce rivre!! je trouve génial cet exercie de pasticher et en effet forte admiration pour ce travail de pastiche, pas evident à le faire, je dis beravo , merci et bon weeke dn a l équipe de lecteurs.com kenavo
Bonjour, je me réjouis de lire ce livre qui propose rien de moins que de pasticher des auteurs que je chéris : Houellebecq, Proust, Nabokov, Modiano, Bellegueule, Carrère, Dostoïevsky et bien sûr l'immense Flaubert.
Seul un véritable amoureux des mots peut être capable d'une telle prouesse littéraire !
Je tente ma chance pour découvrir ce livre. Je croise les doigts
Oh j'adorerai découvrir ce livre. Et par la même occasion faire découvrir le pastiche à mes élèves !
Le pastiche, style littéraire si particulier, qui donne envie de découvrir l'auteur qui se cache dans l'écrit rédigé.
Bonjour, je tente ma chance pour ce livre de pastiche politicilotteraire car cet exercice mérite de s'y attarder et d'en découvrir les différentes facettes !!! Merci d'avance
je tente ma chance car j'ai envie d'en découvrir davantage
Bonsoir,
C'est l'idée même du pastiche qui m'interesse. Je ne pensais pas qu'un livre pouvait y être entièrement consacré. Je tente ma chance.
bonjour, le thème est très originale, de plus à la veille des élections présidentiels, à découvrir.
Je n'ai pas eu l'occasion de lire des écrits de pastiches. C'est une première pour moi. Pourquoi ne pas commencer par celui là ?
Je participe car je souhaite découvrir les pastiches
Bonjour,
J'aimerais beaucoup découvrir cet auteur et son livre qui semble intéressant.
ce livre de pastiches me parait tres bien, je ne connais pas cet auteur et aimerai le lire , merci :::
Le pastiche : un concentré savoureux des procédés stylistiques d'un auteur et un régal pour pour les gourmands de la littérature !
La possibilité de lire ce recueil me met déjà l'eau à la bouche !
Bonjour !! Intéressée par cet ouvrage , l'envie de découvrir l'art du pastiche, je tente ma chance !
Bonsoir, en fait tout l'article me donne envie de lire ce livre !!!
Bel exercice que celui du pastiche et profonde admiration pour ceux et celles qui se font pasticher, je sais pas si ça se dit ?!
Je sais que je passerai un excellent moment, étonnant et drôle.